À force d'allumer

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Ce que j’adore par-dessus tout, c’est de passer mon temps au Sun City, cet immense sauna situé en plein cœur de Paris. Étant mignon et bien foutu, j’adore me pavaner devant les mecs qui sont souvent en rut. Il ne faut pas y aller un dimanche après-midi où c’est tellement fréquenté qu’il n’y a plus assez de serviettes et les mecs ne font finalement que tourner en rond. Il faut y aller un soir en pleine semaine… là, on a plus de chances de rencontrer de vrais mecs, parfois même hétéro qui sont juste là pour se vider.

 

Je savais qu’aguicher les mecs finirait par me jouer des tours et ça n’a pas loupé ce lundi soir.

 

J’avais décidé de prendre du bon temps car j’étais off le lendemain. Ce que j'adore faire, c’est de me montrer en me douchant dans les douches ouvertes, alterner hammam et douche. Après, une fois que les mecs m’ont remarqué, ils me suivent dans l’espoir de baiser avec moi… mais je les fais poireauter car je ne baise qu’avec celui qui me plaît le plus.

 

Ce soir là, personne ne me convenait vraiment. Du coup, je ne voulais que m’amuser. Je les aguichais du regard mais lorsqu’ils rentraient dans une cabine pour m’inviter à les rejoindre, je passais devant sans même les regarder.

 

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J’avais déjà remarqué un rebeu, la trentaine, regard pervers et mâchoire carrée qui me tournait autour. C’est le genre de mec qui choppe facilement. À lui, je décidais de faire comme aux autres. Plusieurs fois je lui rendais son regards pervers par un regard de salope; lorsqu’il crut que c’était gagné, je passais devant sa cabine sans le regarder… ce jeu m’amusait car je voyais qu’il commençait à pester. Je le croise devant la cabine à côté du fumoir, même scénario. Je passe devant sans le regarder. Intérieurement je riais….

 

Lorsque je suis arrivé vers le sauna, je sentis une main me choper par la nuque. En un rien de de temps, je me suis retrouvé traîné jusqu’à la cabine à côté du fumoir devant tous les mecs qui nous regardaient, surpris. Je me suis retrouvé projeté à l’intérieur de la cabine. Je vis que mon agresseur n’était autre que le rebeu. Il avait le regard féroce. Je me relève, il me fout une claque qui me fait tomber sur le matelas :

 

— Tu crois quoi ? Tu crois que tu peux m’allumer comme ça, sale pédé ?

 

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Il se jette sur moi, m’arrache la serviette et me fourre direct sa queue dans la bouche. Je n’ai même pas le réflexe de protester tellement je suis encore sonné par la claque. Il me fourre la bouche en me tenant par les cheveux d’une main et me tenant les poignets d’une autre. J’ai mal à la gorge tellement il me défonce avec sa queue. J’en pleurais mais l’excitation de la situation commence à me faire bander. Il me retourna comme une crêpe sur le ventre et commence à me peloter le trou. Il me malaxe les fesses bien fort et me les écarte en crachant dessus. À plusieurs reprise, j’ai essayé de me redresser mais mes tentatives ont été calmées par des coups dans le dos.

 

— Tu ne bouges pas la pute ou je te défonce la gueule !

 

Il commence par me rentrer trois gros doigts directs, ce qui me fit hurler… Dehors, j’entendais des gens se regrouper et s’agiter derrière la porte. Il faut dire qu’il n'est pas discret lorsqu’il m’insulte ou me fout des coups. Il s’en fout, me fourre les doigts dans le cul. Il commence à vouloir entrer sa bite directe. Je le suppliais :

 

— Mets un capote… non pas sans capote…

 

Il ne m’a pas écouté. Cette fois-ci, je me laissais pas faire. Je contractais mes fesses au maximum et même ses coups sur les fesses ne me faisaient pas démordre. J’ai senti qu’il me lâchait enfin. Je l’entendais fouiller dans sa petite trousse et déchirer la protection d’une capote. J’essayais de me relever mais il me bloque aussitôt. J’entendais le bruit du plastique qui se tirait, signe qu’il a mis la capote. Il se ré-appuye sur mon dos et me plante sa bite d’un coup. Mon trou déjà meurtri ne sent que la douleur. Il me baise pendant une bonne demie-heure en me traitant de tous les noms… « Alors la pute ? On allume et on n’assume pas ? » « T’es mal tombé salope, avec moi tu vas morfler ». Il continue à me défoncer dans la même position. Je me demandais combien de temps mon calvaire allait durer. Il accélére de plus en plus. Chaque coup subi résonne dans la cabine. Je finis moi-même par gémir. Il me défonce littéralement. Mon trou a déjà cédé depuis un bon moment et s’ouvre sans problème à chaque passage.

 

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D’un coup, je l’ai senti m’empoigner par les cheveux à me faire mal et il se plante une dernière fois brusquement en moi. Je sentais sa queue se contracter 5 à six fois. Il a enfin joui. Il se retire de mon cul. Il m’ordonne de ne pas bouger. Je l’entendais prendre ma serviette, s’essuyer avec, me la jeter sur le visage. Je l'entendais ensuite mettre sa propre serviette autour de la taille, ouvrir la porte et s’en aller. Je me relevais aussitôt pour fermer la porte… il y avait six sept mecs devant la porte, attirés par les bruit. Je réajustai ma serviette et sortis direction la douche. En sortant je vis une capote pas déroulée par terre.

 

En marchant, je sentais quelque chose couler le long de ma jambe. Je me suis dis que c’était du gel… Mais arrivé dans la douche, je me suis rappelé qu’il n’a pas utilisé de gel… Pris de panique, je pousse le plus fort possible et tout le liquide sort. Je le recueille dans ma main. C’était un liquide épais et très blanc… Le salaud, il m’avait inondé le cul ! Au lieu de prendre peur, je me suis aussitôt mis à bander…. J’ai à peine eu le temps de me branler que la porte de ma cabine s’ouvrait brusquement… il était encore là, le regard encore plus méchant !

 

— Dépêche-toi de te laver ! Suis moi, on se casse d’ici !

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