Les histoires du net

Mercredi 25 mars 3 25 /03 /Mars 17:13
- Par benoit-ange-ou-demon

Dépucelé par mon meilleur ami ... hétéro!

Couple---Exhiboys.jpg Salut les gars! Je vais vous conter l'aventure la plus inimaginable qui m'est arrivée avec mon ami Tommy lors d'une ballade au centre-ville. C'était à la fin de l'année scolaire, au début de l'été...

Comme on n’avait pas d’école l'après-midi, avec le beau temps, Tommy et moi, nous avons décidé d’aller se promener en ville. Juste avant l’heure du dîner, on a eu notre cours d’éduc, alors on était en t-shirt, shorts et espadrilles. On a foutu notre linge dans notre sac à dos pis on a pris le métro jusqu’à Berri. C’était bourré de monde sur la rue, on en a profité pour se promener un peu.

Faut que je vous parle de Tommy... C’est un gars qui est dans presque toutes mes classes, un beau p’tit homme de 16 ans, presque 17, aux cheveux châtains clairs, un petit baby-face tout rond et des yeux d’un vert... de toute beauté. Il ne sait pas que je suis gai, ni que je le trouve pas mal de mon goût, mais bon...

Alors, on se promène sur la Ste-Catherine pis je décide, faisant semblant de rien, de prendre vers l’est... Le Village n’est pas très loin, à moins de cinq minutes à pieds. Le jour, y’a tout de sorte de monde là, alors pas de danger que Tommy me demande c’qu’on faisait rendu dans le coin! J’ai bien remarqué que Tommy s’était apperçu qu’une couple de gars se promenaient main dans la main, mais il n’a rien dit...

On a continué comme ça jusqu’au coin de la rue Champlain... Avec la chaleur qu’il faisait, on en a profité pour se prendre un sundae à la crémerie qu’il y a à côté de La Track pis on s’est installé à une table sur le bord de la terrasse. Tommy et moi, on jasait de tout et de rien, mais on revenait souvent sur le sujet des examens de fin d’année qui approchent à grands pas. Tout en jasant, j’en profitais moi pour regarder partout autour de moi, surtout que ma mère ne me laisse pas sortir le soir après 23h, alors je n’avais jamais eu l’occasion de voir toute l’action du Village de soir, aussi bien en profiter pour une fois que j’y étais, même si c’est le plein jour!

Un moment donné, je vois une auto grise s’arrêter dans la rue juste à côté, pis le chauffeur descend la vitre du côté passager et fait signe d’approcher. Je regarde en arrière de moi pour voir si c’était pas à quelqu’un d’autre qu’il s’adressait, mais non, ça semblait bien être moi. J’ai dit à Tommy de m’attendre quelques instants, que le gars dans l’auto devait être perdu et cherchait sa direction. À l’intérieur de moi, j’avais une autre petite idée de ce que ça pouvait être mais j’en n’étais pas certain...

Arrivé à l’auto, je me penche et je salue le gars. Il est sûrement dans la vingtaine avancée, peut-être tout Couple---Exhiboys--1-.jpg juste 30 ans. Il est quand même beau bonhomme, pas gros du tout, ben clean. Il me demande en anglais si je suis libre pour la prochaine heure et je lui réponds que je suis avec un copain. Il se tasse pour regarder Tommy qui nous regardait l’air un peu perdu. Il sort son portefeuille et sort deux billets de 100$ US et les mets sur le siège en me disant qu’ils sont à nous s’il peut nous regarder en train de se faire un 69. Un peu pris par surprise malgré tout, je ris en lui disant que Tommy en ben straight et qu’il n’accepterait sûrement pas. À ces mots, il me dit d’aller lui demander en déposant un autre bill de 100$ sur les deux autres... Wow! 300 piastres, US en plus!

J’peux sûrement faire passer ça en douce en montant une histoire à Tommy... Je le trouve tellement trippant que ça pourrait être MA chance! Je dis au gars dans l’auto de m’attendre deux minutes et je repars rejoindre Tommy. Je m’assois en face de lui et en riant, je lui conte ce que le gars vient de dire... Tommy rougit sur le champ et se met à insister sur le 300$ US... 450$ canadiens, c’est pas peu dire... J’lui lance hypocritement que je ne crois pas que je serais capable de le sucer, même pour de l’argent quand tout à coup, Tommy se lève et me regarde droit dans les yeux, et le plus sérieusement du monde, me lance:

— Tu peux garder un secret?

— Ouais, quoi donc?

— Ben j’ai déjà essayé ça avec mon cousin l’année passée, et c’est pas aussi pire qu’on pense... Heille, j’aurais besoin de cet argent, tsé, mon scooter...

C’est vrai, il avait commencé à s’accumuler de l’argent pour s’en acheter un, je n’y avais pas pensé...

— Ferais-tu ça pour moi? Heille, on se connaît quand même bien et le gars nous touchera pas... Moi j’le ferais...

— J’sais même pas comment faire! Que j’ai ajouté hypocritement.

— J’vais te montrer! Je l’ai juste fait une fois mais c’est pas ben sorcier... Allez, viens, s’il te plaît!!!

— Ok, mais t’en parle à persone, hein?

— T’es malade, j’veux pas passer pour un fif à l’école!

Wow! J’m’en foutais-tu du cash rien qu’un peu, moi, c’est le gars que je voulais! J’me lève et fais semblant d’être indécis alors que Tommy lui s’approche déjà de l’auto. Il me fait signe de monter à l’arrière et il prend place à l’avant à côté du «client». Je n’aurais jamais pensé qu’il puisse avoir autant de guts le Tommy!!!

L’auto démarre aussitôt et Tommy discute avec le client, tenant déjà les billets verts dans sa main. J’entends au passage qu’il pose sa condition au fait qu’il ne sera que spectateur, je ne suis pas vraiment la conversation, je tente plutôt de me convaincre que ce n’est pas un rêve... L’auto s’est rendue dans un motel dans l’est de la ville, un petit motel pas très chic, mais tout de même propre. Je voyais un métro non loin, alors je n’avais pas trop de craintes malgré tout... On sait jamais, on aurait pu tomber sur un fou dangeureux! Le gars nous dit d’attendre dans l’auto en remettant un nouveau billet de 100$ à Tommy.

Quand l’homme fut descendu, Tommy se retourna vers moi et voyant mon regard interrogateur, me dit tout simplement, la voix tremblante:

— J’espère que tu ne m’en voudras pas, j’ai accepté quelque chose de spécial...

— Quoi donc? demandais-je avec un peu d’appréhension.

— Le gars nous donne 100 piastres de plus pour qu’on s’encule...

— Quoi!!!!!!!!!!!

Couple---Exhiboys--2--copie-1.jpg — Hé! Pas peur... C’est toi qui me prendra... À ce prix-là, ben ça vaut la peine d’essayer et j’aurai presque tout le cash pour mon scooter avec ma moitié de l’argent...

Je n’étais plus vraiment là, carrément dans les vapes! Je m’étais toujours demandé de quoi ça avait l’air de se le faire faire ou encore de le faire à quelqu’un, sans vraiment croire que ça m’arriverait si rapidement. Tsé, dans ma tête, ça faisait partie des expériences à tenter, mais sans plus. Mais là, avec Tommy en plus, le garçon de mes fantasmes! Tout me paraissait presque incroyable.

Le gars revint rapidement avec une clé en main. On descendit de la voiture et on l’a suivi jusqu’à la chambre qu’il avait louée. Il nous fit entrer et referma derrière lui. On se tenait au centre de la chambre alors que lui se rendit dans le coin pour s’asseoir sur l’unique chaise que la chambre avait.

— Whenever you’re ready guys! Nous lança-t-il.

C'est pas mêlant, je tremblais comme une pucelle! Moi qui m'imaginais tout plein de scénarios le soir dans mon lit pendant que je jouais à la veuve-poignet, voilà que c'est mon meilleur ami, Tommy, celui-là même qui me faisait voir des étoiles dans mes rêves les plus osés, qui m'entraînait dans cette aventure de débauche complètement folle.

Tommy vint se placer face à moi, donc dos au jeune américain. Il me serra contre lui et me glissa à l'oreille: "Laisse-toi faire, laisse-moi te guider... tu regretteras pas, je te le promets!" Sentant bien que je tremblais de tout mon corps, il me fixa dans les yeux et ajouta doucement: "Je suis désolé... c'était complètement fou de t'entraîner là-dedans... Tu sais, il n'est pas trop tard, je peux m'organiser avec le gars pour tout annuler." Mes idées soudainement s'entrechoquaient... NON!!! Je voulais tellement! Je répondis tout simplement: "Non, non... c'est juste que je suis nerveux, j'ai jamais eu de relations avec qui que ce soit..."

Couple---Exhiboys--3-.jpg Sur ces mots, Tommy me fit une petite bise sur le front, me serra dans ses bras, comme pour me protéger, avant de se déplacer derrière moi. Il colla son corps contre le mien, m'enlaçant de ses longs bras alors que sa bouche se promenait dans mon cou. Je sentais son souffle chaud sur ma peau et la chair de poule me prit tout à coup. Sa langue venait de me lécher le lobe de mon oreille. C'était si intense... et l'idée que mon meilleur ami hétéro allait me dépuceler m'excitait au plus haut point.

Ses bras se promenaient maintenant sur mon corps alors que son corps à lui se balançait de gauche à droite, son torse soudé au mien et son bassin bien collé contre le mien, à tel point que je sentais maintenant une barre raide contre mes fesses. Tout doucement, sensuellement, il commença à retirer mes vêtements un à un. Quand il tenta de descendre mon short, ma queue raide qui pointait vers le haut empêchait la manoeuvre et il dut glisser ses doigts sous la bande de la taille élastique afin d'en arriver à son but. Touchant ma bite bien bandée, il me glissa un: "Petit cochon!" bien amical à l'oreille qui me fit sourire. J'étais totalement nu maintenant et plus relaxe, je ne me sentais plus aussi gêné d'être là, m'affichant en spectacle à ce touriste.

J'étais dans un autre monde, c'est comme si tout allait au ralenti. Je sentais maintenant le torse nu de Tommy contre mon dos, et quelques instants plus tard, la toison de son pubis chatouillait mes fesses alors que sa queue bandée frottait entre mes deux lobes de chair vierge. Tommy me léchait toujours dans le cou et sa respiration s'était drôlement accélérée - la mienne aussi d'ailleurs! Le corps de mon ami se sépara du mien et ses mains sur mes hanches, il m'attira vers le lit. Il s'assied, me faisant pivoter doucement sur moi-même, pour se retrouver finalement face à face avec mon sexe fou de désir. Il leva les yeux, cherchant dans mon regard un signal consentant; je répliquai tout simplement en lui faisant un clin d'oeil. Ce signal était tout ce qui lui fallait: sa bouche se précipita sur ma bite qu'il avala rapidement sur toute sa longueur. La surprise occasionnée par la sensation de ses lèvres parcourant mon membre me fire lâcher un cri d'extase non feint. La puissance de cette découverte ajoutée à l'excitation générale qui remplissait mon corps me fit raidir le corps tout entier. À peine quelques aller-retours sur ma queue furent suffisant pour que je lui explose en pleine bouche. Déçu de ma contre- performance, je rougis en regardant Tommy qui affichait un large sourire.

Couple---Exhiboys--5--copie-3.jpg Je me retournai pour regarder notre américain qui était toujours sur le fauteuil dans le coin de la chambre. Il était nu aussi maintenant, dévoilant ainsi son corps finement découpé et une bite bandée d'une longueur exceptionnelle: jamais je n'avais vu de sexe si long. Son regard était à la fois amusé par le peu de temps que j'avais mis à jouir dans la bouche de mon copain, mais aussi son regard démontrait l'inquiétude de ne pas avoir droit au spectacle du 69 pour lequel il nous avait payé. Tommy aussi avait remarqué la même chose...

Il se leva du lit et s'approcha de l'américain. Il se pencha sur lui et l'embrassa longuement. Au coin de leur bouche, je pouvais voir de petites traînées de mon sperme qui s'échappaient de leurs bouches. Cette vision m'excita comme pas possible! Tommy rompit le baiser et lui sourit:

— Don't worry sir, he was a virgin... but his youth will bring his excitation back in no time... Show's not over!

Cette parole rassurante de mon ami redonna le plein sourire à notre touriste qui s'en léchait encore les babines couvertes de mon jus crémeux.

Tommy était de retour vers moi. Il s'approcha de mon oreille pour y glisser:

— Fais tout simplement comme je t'ai fait... je vais m'allonger sur le lit pour te faciliter la tâche et avant d'aller jusqu'au bout, je te ferai signe pour qu'on puisse se mettre en 69!

L'évocation de ce scénario fit relever mon sexe d'un seul coup. Tommy le remarqua d'ailleurs et ma réaction le fit sourire. Il s'allongea sur le lit, s'écartant les jambes pour me donner plein accès à son bas-ventre et à sa tige dressée, de longueur semblable à la mienne, dans les 14-15cm, mais beaucoup plus imposante en circonférence. Penché par-dessus lui, je me posais la question à savoir si j'allais pouvoir emboucher tout le morceau!

Couple---Exhiboys--6--copie-1.jpg Timidement, je commençai tout d'abord par lécher le bout de son gland qui pointait hors de son prépuce. Ses mains se placèrent immédiatement sur ma tête pour me guider dans cette première fellation que je lui faisais. La sensation d'avoir une bite en bouche fut au-delà de tout ce que j'avais pu imaginer dans mes rêves. J'ADORAIS! Avec frénésie, je me lançais sur cette verge raide pour lui donner tout mon amour. Mes lèvres entouraient la chair tendue et glissaient de haut en bas, arrachant quelques gémissements de Tommy et le faisant grouiller sous mes caresses buccales. Il ne guidait plus mes mouvements, se laissant tout simplement aller au plaisir que je lui procurais. Des spasmes parcouraient son corps tout entier et se répercutaient dans sa queue. Une petite tape sur mon épaule fut son signe pour que j'arrête de le pomper. Je ne bougeais plus.

Il se déplaça alors et vint se placer sous moi, tête-bêche, prenant mon sexe bien bandé dans sa bouche alors que je reprennais la sienne entre mes lèvres. Ce fut l'apothéose du moment. Une minute à peine après que nous ayons commencé à nous sucer mutuellement, je lui largais une nouvelle salve en pleine bouche. Cette éjaculation le fit se déverser également dans le fond de ma gorge. Sentant ce liquide tout chaud dans ma bouche était sublime. J'en avalai quelques gorgées, mais je pris bien garde d'e conserver assez pour la suite... Je voulais connaître le plaisir qu'il avait fait à notre américain en allant l'embrasser.

Couple---Exhiboys--7--copie-1.jpg Un petit saut dans le lit me permit de me retrouver face à face avec Tommy qui sous moi avait les yeux fermés. J'approchai doucement mes lèvres des siennes et tendrement, ma bouche s'est soudée à la sienne, ma langue tentant d'investir l'intérieur de sa bouche. Les yeux écarquillés, Tommy se laissa aller et m'embrassa à bouche-que-veux-tu pendant que son sperme se déversait dans sa bouche, se mêlant au parfum plus corsé de mon propre sperme que je pouvais discerner dans le baiser. Je laissai mon corps aller contre le sien et nous avons repris nos esprits en continuant de s'embrasser comme des amoureux.

Les minutes passèrent et remis de nos émotions, Tommy s'approcha de notre américain toujours aussi bandé dans son fauteuil. Il s'agenouilla entre ses jambes, et tout en jouant du bout des doigts avec sa queue et ses couilles, à la grande surprise du touriste d'ailleurs, il lui fit une confidence:

— I never dit anything like you want me to do now... But I'm willing to try it, as long as you come along with us to tell my friend what to do... I wouldn't want to be hurt, you know!

Il n'en fallut pas plus pour qu'il soit debout sur ses jambes et approche du lit, suivi par Tommy qui me faisait un clin d'oeil par dessus son épaule.

Le gars prit donc un oreiller sur le lit et le plaça près de mes jambes après que je me sois agenouillé selon ses conseils. Il fit coucher Tommy sur le dos, les fesses relevées par l'oreiller, m'offrant une vue incroyable sur la pastille brune entre ses fesses. Il me fit cracher dans ma main pour en badigeonner l'intérieur des fesses de Tommy, avant de continuer sur ma propre queue qui, bien que j'avais joui deux fois en peu de temps, prouvait son intérêt à continuer les découvertes de ces jeux sexuels. Comme mon sexe est plutôt fin, il nous dit qu'il n'était peut-être pas nécessaire de commencer avec les doigts et que nous pouvions y aller de suite, quoique lentement, avec prudence, afin de laisser le cul vierge de Tommy s'habituer à cette intrusion.

Couple---Exhiboys--8--copie-1.jpg Quand Tommy me fit un petit signe de la tête et ferma ensuite les yeux, je posai mon gland sur sa rosette qui s'ouvrit comme par magie sous la pression. Tommy se raidit un peu quand mon gland fut entré, mais sous les bons conseils de notre guide, il se relaxa pour me laisser continuer la pénétration. Je voyais son visage se crisper et j'avais terriblement peur de lui faire mal. Quand je vis ses traits se détendres et ses yeux se rouvrir, je poussai à nouveau et la progression se faisait plus facilement. Ses muscles s'étaient dilatés et me permettaient maintenant de visiter son antre en profondeur. Une maladresse de ma part me fit perdre l'équilibre et c'est jusqu'à la garde que mon pénis se ficha dans son cul. Un cri s'éleva dans les airs, me faisant craindre le pire. Heureusement, son sourire me rassura avant qu'il m'indique que je ne lui avait pas fait mal; c'était la surprise. L'américain nous dit de ne pas bouger pendant un moment, et que lorsque Tommy serait prêt, il n'aurait qu'à le dire pour que je puisse commencer à bouger en lui. J'espérais que ce serait bientôt car de mon côté, ses muscles serrés autour de ma verge, l'excitation que me causait la situation, ajoutés aux mouvements incessant des parois à l'intérieur de Tommy autour de mon pénis faisait en sorte que je sentais la sauce monter en moi plus rapidement que je ne l'aurais cru.

Quelques instants plus tard, Tommy me regarda en pleine face et me dit:

— Vas-y, saute-moi! Ne prends pas ton temps, je ne sais si je pourrais tenir longtemps!

Couple---Exhiboys--9--copie-1.jpg J'obéis à son ordre et me déchaînai en lui, le ramonant à toute vitesse, suivant le rythme de ses gémissements alors que je m'enfonçais à toute allure dans son cul. Je sentis mes couilles se refermer sur elles-mêmes, se coller contre la base de mon sexe, et sentant la sauce sur le point d'éclater, me retirai d'un coup sec. Ma queue rebondit contre mon abdoment et déversa tout le foutre qui me restait dans les couilles; inutile de vous préciser qu'il n'en restait plus beaucoup!

Tommy restait sur le lit, ne bougeait plus. Je ne m'étais même pas aperçu que pendant mon assaut, il avait pris la queue de l'américain et l'avait masturbé. Sa longue tige un peu ramollie dégoulinait toujours sur la couette du lit et le sourire béat qu'il avait sur les lèvres démontrait à quel point il avait aimé le spectacle qui finalement avait été... interactif en quelque sorte!

Il nous laissa prendre une douche avant de nous laisser retourner chez nous. Il avait insisté pour nous reconduire en voiture, mais comme le métro n'était pas loin, j'avais préféré refusé, désirant me retrouver seul avec Tommy pendant un moment avant de rentrer à la maison.

Couple---Exhiboys--11--copie-1.jpg Au moment de sortir notre carte étudiante de transport pour utiliser le métro, mes doigts trouvèrent deux billets de 50$ que l'américain avait dû glisser dans mes poches pendant que je prenais ma douche. Ça nous faisait maintenant 500$ US! Déjà je me demandais comment j'allais expliquer cette entrée soudaine d'argent à mes parents s'ils s'apercevaient que je dépensais plus qu'à l'habitude... Tommy qui était demeuré silencieux depuis que nous avions quitté le motel me remit deux billets de 100$ et je lui tendis un des billets de 50$ que j'avais.

Durant tout le voyage, j'avais du mal à ne pas afficher un sourire béat. Tommy lui jouait avec les billets dans sa poche et je devinais à son expression du visage qu'il se voyait déjà enfourchant son scooter, en train de dévaler les rues de la ville...

Couple---Exhiboys--10--copie-3.jpg Il me donna un petite tape sur l'épaule rendu à sa station. Il était tard et il devait rentrer tout de suite; moi aussi d'ailleurs. J'allais débarquer à la station suivante.

Le soir dans mon lit, je fus incapable de bander quand j'essayai de me masturber. J'avais beau tenter par tous les moyens de m'imaginer encore avec mon beau Tommy, ça ne marchait pas... Le charme était-il rompu maintenant que j'avais baisé avec lui? Ou n'était-ce que l'épuisement de cette journée riche en émotion?

J'allais bien voir dans les prochains jours... Tout comme j'allais voir si mon copain Tommy allait changer d'attitude avec moi!

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Publié dans : Les histoires du net - Communauté : les jeunes exhibes
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Dimanche 22 mars 7 22 /03 /Mars 14:34
- Par benoit-ange-ou-demon

Couuple-01--8-.jpg Il y a quelques années, alors que j'étais étudiant, je logeais dans une chambre universitaire. À cette époque pas si lointaine, les chambres n'étaient pas aussi confortables que maintenant. Nous avions seulement un petit évier, les toilettes et les douches étaient communes, enfin il y avait le côté homme et le côté femme. Les toilettes étaient grandes et nombreuses, les douches prolongeaient l'alignement des wc. Elles étaient dans une pièce unique les unes à côté des autres. Les lampes du plafond étaient rarement changées et donc souvent en panne; le soir, le coin douche était relativement sombre presque plongé dans le noir. J'appréciais beaucoup d'aller me doucher et je choisissais toujours les heures d'affluence afin de pouvoir mater un maximum. Certains jeunes hommes ressentaient de la gêne et se douchaient rapidement sans lever les yeux. D'autres n'avaient aucun complexe et se lavaient leurs intimités avec une pointe d'exhibition.

Une fin d'après-midi, j'étais sous la douche, nu, l'eau coulant sur mon corps. Je ressentis une petite claque sur mes fesses.

— Alors encore ici, Vic.

Je me retournai et me trouvais en face de Jacques.

Couuple-01--7-.jpg Jacques était un jeune homme de 1m70 avec un corps couvert de muscles longs et saillants. Il avait de beaux cheveux noirs, frisés et coupés courts. Ses yeux étaient d'un noir profond. Il avait un visage très viril, une belle petite gueule. Ses fesses étaient bien musclées et rebondies et son sexe était d'une assez belle taille. Je fantasmais à l'idée de le voir en action. Nous nous croisions souvent et à chaque fois il me faisait un petit sourire. Mais c'était la première fois qu'il se permettait une telle familiarité.

— Oh oui encore, répondis-je en offrant encore plus ma croupe.

Il se pencha vers moi. Je pouvais sentir la chaleur de son corps. La pointe de son sexe touchait mes fesses.

— Avec plaisir, mais reviens prendre une douche un peu plus tard. En général après minuit, l'agitation n'est plus la même et le savon ne sert plus uniquement pour se laver.

Il se pencha au dessus de mon épaule:

— Fais attention, tu commences à bander.

— Arrête tes conneries sinon il faudra que tu m'aides à ce que ma queue reprenne une taille normale.

— Je n'ai pas le temps maintenant, mais si cela t'intéresse, il y a un mec pas mal qui attend dans les derniers chiottes. Si tu aimes les mecs, je suis certain que celui-ci sera à ton goût.

Il parlait avec beaucoup trop de sous-entendus. Il devait connaître ma préférence pour les garçons.

— J'apprécie toutes les expériences originales.

Jacques partit se sécher. Je restais avec mon début d'érection que j'avais beaucoup de mal à contenir. Rapidement, en cachant mon sexe du mieux que je le pouvais, je me dirigeais vers les toilettes. Il fallait que je me satisfasse, sinon je ne pourrais pas terminer ma douche.

Inconsciemment, je poussais la porte des dernières toilettes. Un jeune homme était assis sur le siège, il était nu et avait du mal à cacher sa queue turgescente. Il était brun avec des yeux noisettes et un torse puissant et fort viril. Il me fit un signe de la tête. J'hésitais un quart de seconde puis j'entrais et fermais la porte derrière moi.

Couuple-01--9-.jpg Je m'approchais et passais une jambe de chaque côté de lui. J'insérerais ma queue grossissante dans sa bouche. Il avala goulûment mon chibre. Pendant qu'il me pompait, ses mains pétrissaient mes fesses, puis un doigt commença à titiller mon anus. Je sentais son majeur coulisser en moi. Je me penchais un peu et pris sa bite dans ma main droite. Il bandait dur et fort. Sa queue avait une taille honorable. Il mettait à présent deux doigts dans mon cul. Il faisait cela avec douceur et savoir faire et pour lui faciliter le travail je me cambrais un peu mettant ma croupe en valeur. Je me redressais, me serrais contre son torse et je descendais le long de son corps jusqu'à ce que je sente la pointe de sa queue toucher mes fesses. Je m'empalais lentement sur son chibre que je sentais entrer et vibrer en moi. Je me retrouvais assis sur ses cuisses, son membre entièrement en moi, nos torses l'un contre l'autre, bouche contre bouche. Je montais et descendais le long de son torse, faisant aller et venir de plus en profondément sa queue en moi. Il me laboura le cul pendant quelques minutes puis les mouvements de son bassin devinrent plus saccadés, plus allongés et profonds. Il expulsa son sperme qui me brûla les entrailles.

Je me redressais, me désempalant. Non seulement je n'avais pas joui, mais je bandais encore plus fort. Je relevais la tête et je vis un blondinet aux yeux bleus qui regardait par dessus le mur des toilettes. Je lui montrais ma bite dans toute sa fierté et lui fis, avec la tête, signe de me rejoindre.

Mon partenaire sortit. J'attendais quelques secondes pour savoir si le blondinet allait venir. Il poussa la porte, une serviette autour de la taille. Il était très mince et je pouvais presque compter ses muscles et ses côtes. Je lui arrachais sa serviette et me pressais contre lui, mon membre dressé, pressé contre son ventre plat. Je l'embrassais farouchement, caressant son corps de mes mains. Puis je lui caressais les fesses. Il se cambrait afin de m'offrir une meilleure prise. Je me mis à genoux, je pus voir que les poils de son pubis étaient aussi d'un blond très clair. Je le retournais et lui écartais les fesses. Il avait le cul rasé et le trou bien large. Cette salope devait aimer se faire labourer et devait pratiquer cette discipline fort régulièrement. Je le pénétrais de ma langue. Il se penchait en avant, se cambrant un maximum tout en gémissant de plaisir. Plus je léchais son trou, plus il tortillait du fion et plus j'étais excité. Je me redressais et le pénétrais d'un coup. Il laissa échapper un petit cri. Son fion était large mais pas assez pour mon chibre. Son cul était un tunnel pour le plaisir. Je faisais beaucoup d'efforts pour ne pas jouir trop vite. Je m'accrochais à ses hanches et faisais des va-et-vient rapides et puissants. Il répétait sans cesse "Oui, vas-y. Défonce-moi. C'est bon. Plus fort."

Je sentis monter en moi la vague électrique annonçant l'expulsion de ma purée. J'avais l'impression que mes Couuple-01--10-.jpg couilles explosaient se vidant de tout leur sperme, tel un barrage se rompant et lâchant l'eau qu'il retient. J'avais l'impression de le remplir de ma semence.

Comme je me retirais, je vis qu'il avait aussi jouit.

— Je loge à la chambre 520, me dit-il.

— Alors à bientôt, répliquais-je.

Puis je ressortis terminer ma douche.

Je retournais à ma chambre, la serviette autour de la taille. Comme j'essayais d'ouvrir la porte de ma chambre, ma serviette glissa, me laissant nu au milieu du couloir. L'étudiant qui occupait la chambre d'en face, arriva. Il émit un petit sifflet. Je me retournais, toujours à poil. Il était assez mignon, style étudiant américain. Grand, blond les yeux bleus, son corps viril et élancé était musclé. Il se prénommait Georges.

— Et là, tu ne vois pas le reste en action.

Je me penchais pour ramasser mes clés, cambrant les reins afin de bien exhiber mon cul.

— Ce que je vois me suffirait, dit-il, en ouvrant la porte de sa chambre.

— Fais-moi un signe et le tout est à toi.

Comme signe cela te suffit.

Je me retournais, il laissait son chibre pendre en dehors de sa braguette, une bite longue et grosse de 16cm au repos.

— Mazette que j'aimerais voire tout cela dans une meilleure forme.

Couuple-01--11-.jpg Il s'écarta de la porte afin de me laisser le passage. Je n'hésitais pas et le rejoignais. Il ferma la porte derrière moi.

— Maintenant prépare-toi. Ça va être la fête de ton petit cul.

Il retira son tee-shirt. Son torse était musclé et fort, comme je l'avais supposé. Il enleva ses chaussures, il ne portait pas de chaussette, ni de slip sous son jean moulant. Les poils de son pubis étaient plus foncés que ses cheveux.

Il s'approcha de moi, me serra contre son corps. Ses mains prirent tout de suite la direction de mes fesses qu'il pétrissait. Il me souleva de terre, je passais mes jambes de chaque côté de son corps. Il me porta à son lit. Il m'allongea me gardant les jambes en l'air. Il m'écarta les fesses et fourra sa langue dans mon fion. Une langue longue et pointue qui me pénétrait loin dans le cul. Il se redressa, je vis son membre dur encore plus gros, encore plus long, énorme avec quelques veines gonflées sur le pourtour. Le gland était énorme et rouge. Je passais mes jambes sur ses épaules. Il appuya son gros gland sur ma rondelle puis commença à enfoncer son tube dans mes entrailles.

Je redressais la tête pour regarder cette énorme queue pénétrer en moi. Je serrais les dents sous la douleur de cette pénétration anormale mais aussi sous le plaisir intense que me procurait la dilatation de mon anus. Je voyais ce bras de bébé s'enfoncer en moi juste qu'à la garde. Il prenait son temps afin que je ne souffre pas trop. Il se mit à faire des mouvements de va-et-vient d'abord lentement puis plus rapidement. À chaque fois il enfonçait sa bite au fond de mon cul, le plus profondément possible. Je sentais ses couilles battre contre mes fesses. Il se retira et me fit me mettre à genoux, le ventre sur le lit, le cul à sa merci. J'écartais les jambes et me cambrais afin de lui offrir mon trou dilaté. Il m'encula d'un coup. Ses mouvements étaient rapides et forts. À chaque fois le lit tapait contre le mur. Il ahanait bruyamment. Tout d'un coup, de la chambre voisine, un coup fut frappé contre le mur.

— Calmez vous, j'aimerais réviser en silence.

Mon partenaire répliqua:

— Tu n'as qu'à nous rejoindre.

— J'arrive.

Couuple-01--13-.jpg Ses coups de butoir continuèrent de plus belle. Après son passage ma cheminée serait une gare routière.

Le voisin entra et nous regarda. C'était un jeune homme appelé François. Il porta immédiatement sa main à son jean. Georges éjacula dans mon cul, me remplissant de sa semence chaude. Il devait bien en déverser plus d'un verre. Il se retira, me mit une petite claque sur les fesses puis dit:

— Allez je vous laisse, je vais prendre une douche.

François s'approcha, ôta sa chemise et se mit à genoux. Il me lécha le cul, lapant le sperme qui s'en écoulait. Il m'écartait bien les fesses afin de pouvoir atteindre le fond de mon trou. Il finit de se déshabiller. Je me retournais et m'asseyais sur le lit. Il s'approcha de moi et fourra sa queue dans ma bouche. Je sentais la chaleur et l'excitation de son corps passer à travers sa bite. Il éjacula très vite.

— N'avale pas.

Il m'embrassa. Son sperme se mêla à nos salives. Il se mit à genoux sur le lit m'offrant sa croupe.

— Baise moi.

Je me mis debout et l'enfourchais d'un coup. Il gémit sous l'impulsion forte qui lui explosait le cul. Il disait des insanités, voulait que je l'insulte, se comportait pire qu'une chienne en chaleur. Je lui défonçais le fion violemment. J'attrapais sa crinière noire et lui tirait la tête en arrière. À chaque fois je ressortais presque entièrement ma queue de son trou et m'y enfonçais d'un coup sec. J'entrais une dernière fois au fond de ses entrailles et j'éjaculais, déversant ce qui restait de mon fluide. Je me retirais.

Il s'enfonça les doigts dans son cul, les ressortait couverts de mon sperme et léchait goulûment sa main. Je le laissais et retournais me reposer dans ma chambre. J'avais besoin d'une douche mais je décidais de me reposer auparavant. Je me réveillais vers minuit et demi. Je retournais me laver. En approchant des douches, j'entendais qu'il y avait beaucoup d'animation. Je passais ma serviette autour de mon cou. La salle de douche était plongée dans une pénombre assez importante et je pouvais voir plus d'une dizaine de formes en action.

Sitôt que j'entrais dans la salle, des mains parcoururent mon Couuple-01--6-.jpg corps et arrachèrent la serviette qui me protégeait. Des mains passaient sur mon torse tâtant mes muscles, d'autres caressaient mon sexe, certaines les fesses et même quelques doigts tentaient de pénétrer mon trou. Un homme prit ma tête à deux mains et m'embrassa.

— Salut Vic, prêt pour la fiesta.

C'était Jacques. Il me fit me pencher en avant, m'exhibant sa queue grossissante: une bite grosse, bien droite avec quelques petites veines et surtout très longue.

— Suce-moi et montre bien ton cul. Il faut d'abord que mes copains t'élargissent sinon je ne pourrais jamais te baiser.

Je commençais à le pomper. Sa queue était bonne mais d'une taille vraiment monstrueuse. Une langue glissa le long de la raie de mes fesses. J'écartais les cuisses et me cambrait afin de bien offrir ma croupe. La langue s'enfonça entre mes fesses pour atteindre mon anus. La langue du mec qui me léchait était longue et elle pénétra dans mon trou agilement. Je la sentais bouger dans mes entrailles. Pendant ce temps, Jacques continuait à engouffrer son membre dans ma bouche. La langue se retira, un doigt pris sa place. Un doigt qui fouilla un peu dans mon intimité, puis un deuxième vint le rejoindre, puis un troisième. Le mec essaya d'enfoncer sa main mais mon cul n'était pas assez large.

Néanmoins il continua à travailler mon cul quelques minutes. Puis il retira sa main, se releva et m'enfourcha d'un coup enfonçant dans mon cul sa bite qui était grosse mais peu longue. Je sentais mon anus encercler sa queue. Il alternait les cadences. Une fois il faisait des va-et-vient rapides, puis il ralentissait. Il sortait complètement sa queue et l'enfonçait violemment d'un coup dans mon trou. Pendant se temps, je continuais à sucer Jacques. Mon pénétreur commença à s'exciter, ses mouvements étaient moins rythmés, plus désordonnés. Il expulsa sa jute en moi, réchauffant ainsi mes entrailles. Un autre le remplaça.

— Je vais te nettoyer le cul.

Il prit une savonnette et posa le petit bout devant mon trou et commença à appuyer sur ma rosette. Il poursuivit ce travail lentement jusqu'à ce que la savonnette soit presque entièrement en moi avalée par mon cul. Mon fion, huilé par la savonnette, était glissant comme une patinoire.

— Attends, je vais te nettoyer aussi l'intérieur du cul.

Couuple-01--14-.jpg Il se redressa et m'encula, poussant dans mes entrailles la savonnette avec sa bite. Mon anus se referma d'un coup sur sa queue. Il me lima le fion rapidement, entrant et sortant vivement. Sa bite glissait facilement grâce au savon. À chaque fois qu'il enfonçait sa queue il poussait un peu plus la savonnette, c'était douloureux et bon à la fois. Il se retira d'un coup et me fit mettre sur le dos, les cuisses posées sur son torse, le cul en hauteur, offert. Il plongea sa queue d'un coup dans mon cul. Un couple se mit juste au-dessus de moi: un se faisant prendre et l'autre le sodomisant avec vivacité. Je pouvais voir ce que l'on était en train de me faire. Je regardais avec avidité cette belle queue qui s'enfonçait dans ce trou goulu. L'enculeur jouit. insatisfait l'enculé s'accroupit m'offrant son cul à lécher. Son trou était bien large et ma langue pouvait entrer loin en lui. J'arrivais même à lécher quelques gouttes du sperme de son précédent baiseur. Il se redressa et s'empala sur ma queue. Mon enculeur se retira. Il avança doucement derrière le jeune que je pénétrais et essaya de faire entrer sa queue en même temps que la mienne. Nous étions deux en lui. Il gueulait de douleur et de plaisir, surtout que tous les deux nous bougions rapidement nos queues.

— Enfonce moi ta main dans le cul, me dit l'avaleur de bite.

Il se dégagea de nos bites et se mit à genoux. Je fis ce que plus tard on nomma Fist Fucking. Je me mis à genoux et je lui enfonçais ma main dans les entrailles. Un autre homme se mit à côté du premier fist fucké et me demanda de lui mettre mon autre main. Pendant ce temps mon enculeur avait repris sa position initiale, me faisant bien jouir du cul. Un quatrième garçon s'allongea sur le sol et se mit à me sucer alors qu'un cinquième se mit en face de moi afin que je le turlutte. J'étais avec mes deux mains occupées dans deux culs différents, ma queue dans la bouche d'un inconnu, ma bouche bouffant le membre d'un autre et mon cul limé par une bite d'enfer. Alors que je jouissais, le garçon me déchargea dans la bouche et mon enculeur envoyait sa purée brûlante dans mes entrailles. J'enlevais mes mains des fions où très rapidement de grosses bites prirent leur place.

Après une telle séance je préférais retourner à ma chambre pour me reposer car après tout j'avais des cours à suivre le lendemain matin. Comme j'arrivais devant ma chambre, Jacques me rejoignit

— Alors à nous deux maintenant.

J'ouvris la porte de ma chambre, m'écartant pour laisser passer Jacques. Sitôt la porte fermée, Jacques laissa tomber sa serviette, exhibant sa nudité, son corps viril, son membre encore gonflé de sang. Il m'arracha ma serviette et m'attira contre lui. Nos deux corps étaient serrés l'un contre l'autre, nos torses chauffés par l'envie. Sa langue pénétra ma bouche. Il avait une langue fine, pointue, ferme et très agile. De sa main gauche il caressait mon dos, de la main droite, il pétrissait mes fesses. Il me fit mettre à genou et enfila sa grosse queue dans ma bouche. J'avalais avidement cet énorme queue que ma bouche ne pouvait contenir en entier. Je sentais les veines qui couraient le long de son membre turgescent. Mes sens étaient affolés par le plaisir que de pomper Jacques et par l'odeur légère et parfumée dégagée par son pubis.

Jacques me releva et me fit mettre à genoux sur mon lit, les cuisses bien écartées afin d'avoir le cul bien ouvert. Il attaqua ma rosette avec sa langue, pénétrant mon trou de sa pointe fine. Ses mains étaient accrochées à mon bassin, son visage enfoui entre mes fesses. Il dégustait mon trou comme on lèche une bonne glace; passant et repassant la langue, mordillant à pleines dents.

— T'es pas assez ouvert pour que je te pénètre avec la langue.

Il se redressa et présenta son membre turgescent à mon anus. Il força un peu pour faire pénétrer son gland. Il accrocha ses mains à ma taille, me tenant bien fermement, puis d'un coup s'enfonça jusqu'à la garde. Je criai de surprise et de douleur.

— Eh du calme.

— Ce n'est qu'un bon moment à passer.

Il prenait plaisir à aller et venir vigoureusement, sortant complètement sa queue et l'enfonçant à nouveau à fond dans mon cul.

Après quelques minutes de cet intense va-et-vient, qui je devais le reconnaître, me procurait un intense plaisir, il se retira et se remit à genouix derrière moi. Mon trou était bien dilaté et il enfonça sa langue en moi. Je devais reconnaître que sentir cette langue longue et pointue se mouvoir en moi, me déclenchait une sensation incroyable à laquelle je ne m'attendais pas. La pointe de sa langue titillait toutes les zones érogènes de mon cul. Après quelques secondes, mes sphincters se resserrant, il me fit m'allonger sur le lit et me couvrit se son corps, en profitant en même temps même temps pour caler à nouveau sa bite dans mon cul.

J'étais complètement soumis, écrasé par son corps musclé, pénétré par ce mâle énergique. Je me sentais bien, coincé, chauffé par son corps magnifique et excité par sa vibrante queue. Nous basculâmes sur le côté afin que je puisse me branler en même temps qu'il continua son limage viril. Nous jouïssâmes ensemble. Il laissa son membre gonflé dans mon cul.

Couuple-01-copie-1.jpg — Je peux rester dormir avec toi.

— Évidemment, répondis-je avec entrain, encore sous le choc extatique du plaisir.

Nous nous endormîmes, moi calé contre son torse, sa bite toujours dans mon cul.

Dans la nuit, je me réveillais sentant Jacques bouger. Sa queue était toujours dans mon trou et il était en train de faire des basculements de bassin afin de se branler dans mon cul. Je sentais son sexe grossir en moi. La sensation était étonnante et affolante. Son sexe grossissait et se développait dilatant mon trou en même temps. Immédiatement, j'avais une érection. Jacques empoigna ma bite et la serra fortement. Il s'accrochait à mon mât tout en m'enculant. Dans un mouvement plus fort et plus profond, sa lance cracha en moi une nouvelle fois son chaud liquide me faisant jouir en même temps.

Nous nous endormîmes, mais chacun de son côté du lit.

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Lundi 16 mars 1 16 /03 /Mars 18:10
- Par benoit-ange-ou-demon

Les-jumeaux1.jpgRomain et Cédric sont deux adorables jumeaux bruns de 19 ans. Ils ont à la fois le côté viril des petits mâles sauvages et le côté fragile des ados. Depuis un mois, Romain - qui est ouvertement gay - a un petit ami: Régis. Ce soir-là, les deux frères terminent une partie d’échec dans la chambre de Cédric.

— Tu ne t’es jamais demandé la sensation que ça faisait? demanda Romain à son frère.

— Quoi?

— De «sauter» un mec!

— Arrête avec tes histoires! Que tu sois pédé ça m’est complètement indifférent mais fous-moi la paix avec tes histoires de culs...

— Tu ne t’en fous pas que je sois gay!

— Si.

— Menteur!

— Pourquoi menteur?

— Parce que d’abord tu dis pédé et qu’ensuite ça t’emmerde royalement que j’en sois un!

— Ça m’a emmerdé, c’est vrai... Mais je m’y suis fait, Rom’! T’es pas le seul à l’école...

— T’as vraiment jamais eu envie?

— Arrête et joue!

— On ne peut vraiment parler de rien avec toi, frangin!

— Bon, tu veux que je parle de la baise entre mecs avec toi... C’est ça? Alors on y va. J’en parle. Non, je n’ai jamais eu envie d’enfiler un mec... Voilà!

— Même pas moi?

Les-jumeaux1--2-.jpgCédric resta bouche bée. Le silence aspira tout. Cédric n’osait pas regarder Romain. Sa réponse ne venait pas mais le silence pesant en étant une.

— J’en étais certain! Tu en as envie...

— T’es vraiment lourd, Rom’!

— Ose jurer que tu n’as jamais pensé à ça! Ose!

— Nous sommes jumeaux!

— Ce n’est pas une raison!

— Si. S’en est une excellente! J’ai lu ça. Plus de 75% des jumeaux ont eu envie de relations sexuelles avec leur double! 30% l’ont fait! Ça ne fait pas de moi...

— Un pédé! Non, je sais! Je n’essaie nullement de prouver que tu en es un... À entendre les filles se pâmer sous tes coups de reins...

— Tu as écouté?

— J’allais me gêner. Tu n’as jamais écouté, toi, lorsque je ramenais un mec dans ma chambre?

— Je n’ai pas écouté... J’ai entendu! Nuance!

Il passa la langue sur ses lèvres.

— Arrête de jouer à l’allumeur! Va tout de suite au fait, Romain.

— As-tu envie de me baiser?

— Toi, à première vue, tu es intéressé. Tu aimerais peut-être savoir pourquoi les filles crient sous mes coups de butoir.

— Tu marques un point... mais c’était MA question... et j’attends TA réponse...

— Tu m’offrirais ton...

Les-jumeaux1--5-.jpg— Mon cul, oui! Ça fait très longtemps que j’y pense... Je n’ai qu’un regret, c’est que ce ne soit pas à toi que j’ai donné ma virginité!

— J’aurais dû aller vite!

— Je ne l’ai pas perdue si jeune.

— Je crois rêver!

— Non, tu ne rêves pas! Je suis sûr que tu bandes, là! Tu triques à l’idée de «sauter» ton petit pédé de frère.

Romain se pencha et tâta l’entrejambe de Cédric qui eut un geste de recul.

— Woaw!

— Content?

— Hyper heureux! Et fier de te mettre dans cet état... Elle est toute dure, brother!

— T’en as envie. Allez! Fous-toi à poil que je te fasse ton affaire!

Cédric ceintura Romain mais celui-ci se dégagea.

— Tu sais ce que tu veux?

— Pas touche!

— Non, tu ne sais pas ce que tu veux!

— Il y a une condition...

— Quoi?

— Il y a une condition.

— C’est quoi ce plan à la «mords-moi l’nœud»?

— Tu n’imagines pas à quel point ça l’est...

— ...?

— À la mords-moi l’nœud!

Cédric soupira.

— Si tu veux me baiser, tu dois d’abord baiser mon mec!

— Tu es complètement taré! Tu divagues, mon vieux. Tu m’embarques dans tes fantasmes parce que tu crèves de sentir ma queue au fond de ton cul... et puis maintenant, tu me proposes une partouze de pédales!

— Du tout! Tu encules Régis et puis... tu m’encules. Tu auras bien assez de force pour nous deux, non?

— Tu veux dire que tu es d'accord pour que je saute ton mec? Et puis toi tout de suite après?

— On verra si tu as encore de la force pour moi! Si le petit salopard ne t’a pas fait jouir avant!

Les-jumeaux1--4-.jpgLa discussion tourna court et Cédric s’en alla. Il passa une fort mauvaise journée car tout ça l’avait rendu nerveux. Lorsqu’il rentra, le soir, il frappa à la porte de la chambre de son frère. Leurs parents étaient partis, comme très souvent, pour un mini-trip en Grande-Bretagne.

— Entrez!

Romain était à moitié nu, sur son lit. Régis était dans la même tenue devant l’ordinateur.

— Tu veux quelque chose? demanda Romain victorieux.

— Je suis d’accord!

— D’accord pour?

— Pour vous baiser l’un et l’autre!

Le visage des deux gays s’éclaira.

— Vrai?

— Oui.

— Régis en rêvait tout autant que moi!

Celui-ci enleva son short et s’installa à quatre pattes sur le lit.

— C’est ce qu’on appelle démarrer au quart de tour!

— Il sait ce qu’il veut, Cédric!

Cédric n’avait jamais vu Régis à poil. C’était un fort beau garçon à la musculature fine. Sa raie duveteuse était toute rosée.

— Vas-y, frangin! Nique ma salope...

Cédric n’en revenait pas d’entendre son frère parler si crûment. Mais sa queue se dressait à la vue de ce tableau réjouissant et il laissa Romain le déshabiller.

— Il n’attend que ça! dit Romain. Donne-lui ce qu’il veut...

Romain lui tendit un préservatif et du gel à base d’eau. Il s’en aspergea la bite et plaça son gland bien lubrifié à l'entrée du trou brunâtre. Il écarta les fesses et de son membre perfora l’anneau serré. L’enculé, très chaud, se cambra progressivement, de sorte que la pine le pénètre sans même que l’enculeur n’aie à bouger. Grâce à un léger mouvement, il aspira littéralement le bout de la bite.

Les-jumeaux1--7-.jpg— Oh la salope! s'exclama Romain à l'intention de son mec, elle sait bien y faire! Ton gland est déjà entré tout à l'intérieur!

— Mmmmmmmm! Qu'il est gros! Il me remplit rien qu'avec son gland!

— C’est si serré! C’est délicieux... ajouta Cédric.

— Ne va pas trop vite, mon frère, tu vois bien à quel point il est étroit...

— Laisse-le me défoncer, chéri! geint Régis trop en chaleur.

— Le plus gros est passé! rassura Cédric, maintenant ça va aller tout seul!

Il prit alors l'initiative et empoigna son partenaire par les hanches pour le pénétrer d’abord d’un coup pour aller le plus loin possible - ce qui lui arracha un cri - puis avec lenteur.

— Ouaahhh, c'est si booon...

— Ça n'a rien à voir avec une bonne femme!

— Je te le répète depuis des années...

— C’est divin! Si il y a d’autres trucs que je dois connaître, Romain, ne me laisse pas mourir idiot?

Les-jumeaux1--1-.jpgRomain, qui se masturbait sans retenue, tout en flattant les bourses de son frère, ne se fit pas prier pour s’installer entre ses cuisses et lui bouffer la raie.

— Aaaaaaaaah! Ouiiiiiiiiiiii... Allez... Ouvre-moi les fesses! Joue avec ta langue. Jamais une nana ne m’a fait ce genre de truc...

— Et, crois-moi, aucune ne te le proposera!

Cédric s’assit dans le fauteuil de la chambre et proposa une autre position.

— Romain, tu vas tenir ma queue bien droite, pour que Régis vienne s'asseoir sur elle. Comme cela, il pourra s'empaler au rythme qu’il désire.

— C'est génial, comme ça, je vois beaucoup mieux ton énorme bite disparaître entre les fesses de mon mec.

Régis grimaça en accueillant la «bête».

— Tu as mal?

— Un peu... mais ça en vaut vraiment la peine. Tu as une bite extra, Cédric. Même forme que celle de Romain mais plus grosse. Comment est-ce possible... Vous êtes jumeaux?

— Mauvaises répartitions à la naissance. Moi, j’ai eu un plus gros cerveau! ironisa Romain.

— Connard!

— Passe ta main dans ma raie, Romain, et caresse-moi la chatte, ça me fera du bien, je crois... Elle prend toute la place dans mon fourreau.

— Vous parler comme des gonzesses! Vous n’avez pas de «chatte», bande d’enculés! gémit Cédric.

— Siiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii! hurla Régis sous le dernier assaut.

Les-jumeaux1--8-.jpgLes lamentations de Régis se changèrent vite en gémissements de plaisir, puis en cris de bonheur, quand la queue de Cédric arriva au fond de son boyau. La tige bien dure commença à aller et venir dans la raie. Romain s’occupa de l’entrejambe de son frère avec la langue. Il semblait apprécier de plus en plus.

— Oh, oui, caresse-moi les couilles! Oh oui, ta langue, maintenant!!!

— Eh ne m'oublie pas! hurla Régis.

— Ta gueule! Ne crie pas comme ça...

— Heureusement que les parents sont absents...

— Oui, mais y’a aussi les voisins.

— On va leur faire avoir un arrêt cardiaque... Ils ont plus de 70 berges!

— Ouuuuiii, comme ça, mets-moi un doigt...

La bite de Cédric s’éjecta du trou de Régis.

— Donne-la moi, maintenant, je veux la sucer! dit Romain.

— Oh non, mon chou, remets-la moi dans le cul encore un moment. Elle est si grosse et si bonne! Tu as dit que ce n’était que pour une fois... Je veux bien en profiter!

— Tu vas bien en profiter... T’inquiète, petit trou du cul!

— Oh ouiiii... Cédric, parle-moi comme ça... Dis-moi des cochonneries!

Les-jumeaux1--6-.jpgCédric lui attrapa les cheveux et tira sa tête vers l’arrière.

— Tu aimes qu’on soit sauvage avec toi?

— Il adore se faire rudoyer, mon frère! Moi, je suis déjà obsédé mais lui... c’est inouï! Une pute!

— On dirait, oui. Eh bien, ma petite pute va attendre que son tour revienne.

Et il largua le mec de son frère sur le lit.

— Viens ici, Rom’! Tu vas enlever le préso et après tu me pourras me sucer la queue. Tu vas me pomper jusqu’au bout car je n’en peux plus. Prends tout mon jus dans ta bouche, petite salope!

— Ne jouis pas tout de suite! gémit Régis.

— T’inquiète, salope! J’en aurais assez pour vous inonder tous les deux. Et puis, avec ce que je viens de découvrir, il est plus que probable que je revienne voir du côté des tantouzes...

Romain et Régis échangèrent un sourire.

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Lundi 9 mars 1 09 /03 /Mars 18:21
- Par benoit-ange-ou-demon

Le frère de mon pote

ExhiBoys-Le-frere-de-mon-pote--2-.jpgJ'étais à la fin de mon adolescence. Un jour, je suis parti en vacances chez un ami pendant un mois dans le sud. Manque de chance, mon ami tombe très malade pendant les vacances et se retrouve à l'hôpital du coin. Me voilà donc avec, comme compagnon, son frère plus âgé.

Il y avait dans la maison une sorte de cave aménagée par les enfants et dans laquelle personne d'autre que nous n'allait jamais. Un jour, j'étais avec son frère en train de jouer aux cartes et le voilà qui me demande d'éteindre la lumière parce qu'il veut se branler. Et il ajoute:

— Branle toi aussi si tu veux...

J'éteins la lumière et je me rassois sur le canapé. Je l'entends dans le noir qui se branle, qui respire plus fort. Moi aussi, je me branle, mi-gêné mi-excité de cette promiscuité. Je le sens qui s'approche de moi et il attrape mon zob, posant sa main par dessus la mienne. Il m'a guidé ainsi pendant un moment jusqu'à ce que je n'en puisse plus. Au moment où il a senti que j'allais jouir, il s'est arrêté, pressant fortement sur mon gland pour faire redescendre la pression. Puis il a recommencé à me branler. Il me branlait fort, me faisait presque mal, mais j'étais si excité que je ne pouvais rien dire. Sans même que je le réalise, j'ai attrapé sa queue. Elle m'a surpris par sa taille. Je la trouvais énorme! Je me souviens que j'ai tout de suite commencé à le sucer, prenant tout ce que je pouvais dans ma bouche.

ExhiBoys-Le-frere-de-mon-pote.jpgIl s'est mis à genoux sur le canapé et m'a attrapé la tête à deux mains et s'est servi de ma bouche comme il se serait servi d'un cul. Il me baisait la bouche. Il était à la fois brutal et tendre, dominateur et doux. Je n'osais pas retirer ma bouche, je le sentais respirer de plus en plus fort, son zob devenir de plus en plus dur. Et tout à coup, il a joui dans ma bouche. C'était énorme, si excitant que j'ai joui aussi.

Très vite, il s'est relevé, a allumé la lumière et est redevenu comme il était avant, un peu distant. J'étais très perturbé, j'avais tellement aimé cela que j'aurais voulu recommencer tout de suite.

Le lendemain, je redescendis avec lui à la cave et cette fois, il éteignit immédiatement la lumière. Je ne dis rien et je commençais à me branler. Très vite, j'ai senti sa main sur moi, puis sa bouche qui me suçait. Il est venu sur moi et plaçant d'autorité un genou de chaque côté de ma tête, m'a présenté, ou plutôt enfoncé, son zob dans la bouche tout en me suçant. J'étais complètement débordé par l'excitation.

ExhiBoys-Le-frere-de-mon-pote--1-.jpgJe le suçais comme si ma vie en dépendait. Je voulais tellement qu'il jouisse encore dans ma bouche. Mais brusquement, il s'est dégagé et m'a retourné. J'ai compris tout de suite, il aurait pu tout me faire. J'ai senti son énorme zob de 24cm contre mon cul qui poussait, j'avais mal, j'ai voulu arrêter, alors il m'a vraiment plaqué avec ses deux mains et il a poussé encore plus fort. J'avais très mal mais j'étais si excité que ça passait. Il a forcé pour entrer un peu et puis il s'est mis à aller doucement en va-et-vient très petits, le temps que je reprenne mon souffle. Il a accéléré le va-et-vient et m'a pris de plus en plus fort. Je me souviens que je criais sans savoir quoi je criais. J'étais à genoux, les fesses en l'air et j'essayais de m'ouvrir le plus possible pour qu'il rentre tout entier. Je voulais sentir son ventre contre mon cul. Lui appuyait sur la cambrure des reins pour pouvoir entrer encore plus.

ExhiBoys-Le-frere-de-mon-pote--3-.jpgD'un coup, j'ai cédé et il est entré tout entier. Il s'est arrêté un moment, là, tout au fond de moi, et je le sentais vibrer derrière moi. Il m'a attrapé le zob et s'est mis à me branler, puis il a recommencé à bouger, plus vite et plus fort. C'était fou, j'étais complètement en sueur, je jouissais comme un fou sous ce type que je ne connaissais pas, qui ne me parlait pas, qui m'enculait de plus en plus fort.

Il s'est mis à aller et venir très vite. Il a serré mon zob de plus en plus fort et je l'ai senti jouir dans mon cul. Il a joui longtemps, j'avais l'impression qu'il n'allait jamais s'arrêter. D'un coup, il est sorti, a mis sa queue entre mes couilles et m'a branlé si vite que je n'ai pas pu résister. J'ai éjaculé dans sa main. Lui me pressait les couilles fortement...

Nous avons continué ainsi pendant une semaine, sans jamais en parler.

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Jeudi 5 mars 4 05 /03 /Mars 16:10
- Par benoit-ange-ou-demon

Ma première pipe et .....

Eh oui. Comme plusieurs, à mes 13 ans, j'ai découvert que ce que j'avais entre les deux jambes ne servait pas juste à vider ma vessie, mais aussi à vider mes couilles, qui en demandaient tous les jours, depuis cette découverte, c'est tellement super, une bonne éjaculation, une le matin au réveil et aussi avant de dormir le soir, deux fois par jour.

À mes 14 ans, je le faisais régulièrement et avais aussi compris aux douches, que les hommes seraient ma vie, surtout certains soirs, que je pouvais espionner mon grand frère de 19 ans.

057.jpg

Nous habitions dans une maison avec mes parents à l’étage et nous avions le sous-sol pour nous seul, une genre de salon et deux petites chambres, j'avais déjà vu mon frère (moi bien caché) se masturber son beau gros 8 pouces, très virilement, se serrant ses grosses couilles velues de son autre main et au moment d'éjaculer, il prenait un de ses bas, se le passait sur sa grosse queue, pour y éjaculer en râlant fortement. J'avais pris la même habitude, comme je porte deux bas, un pour le soir et le deuxième le matin, avant de les mettre au panier à linge sale...

Un soir j'étais seul et j'ai trouvé une cassette vidéo de sexe, dans le fond d'un tiroir de mon grand frère, suis retourné au salon et regardé ça... Wow... Les gars avaient de supers grosses queues que les filles léchaient, mangeaient, je ne voyais presque pas les filles, que les gars qui leur entraient leur grosses queues entre les jambes... Pas long que j’étais mes boxers baissés et me masturbais, les yeux rivés à la télévision... Tellement pris sur ce que je voyais que j'ai pas entendu entrer mon frère.

— Eh Raymond, qu'est ce que tu fais là? Qu'il a crié.

— Rien. Rien... en remontant mes boxers, rouge comme une tomate trop mûre.

— Tu fais rien, mon oeil, tu te crosses... Et en plus tu as fouillé dans mes affaires.

— Écoute, Frank, je... J'ai trouvé ça...

— En fouillant... Avoue-le...

— Oui. Excuse-moi...

— OK... Continue, c'est normal de se masturber...

— Je m'en vais dans ma chambre...

— NON, j'ai dis, enlève tes boxers et tu te masturbes là... Devant moi...

— Voyons Frank... Pas sérieux?

— T'es sourd?

Il s'approche de moi et de sa main ferme arrache en les déchirant mes boxers. J'avais débandé... Je ne savais plus quoi faire...

— Montre-moi comment tu fais ça... Dit-il.

— Et toi, tu le fais pas? T'ai déjà vu et tu le fais presque tout les soirs...

— Tu m'espionnes... Tu aimes ça me voir faire... AVOUE-LE!!!

— Oui. Frank... J'avoue.

Il se déshabille à poil, s'assoie près de moi, sur le divan, ses grandes jambes velues bien écartillées et se masturbe, pas long que son 8 pouces était gonflé, moi aussi mon 6 pouces étais raide...

Il me regarde...

— Ouinnnnn belle queue pour ton âge, à 18 ans, tu vas être comme moi, beau gros 8 pouces...

Il se penche et me suce... Oufffff il le prend au complet dans sa bouche et me dit:

— As-tu déjà fait ça... Sucer?

— NON, jamais...

— Tu as vu comment, mets-toi à genoux entre mes jambes et suce-moi...

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Je me suis mis à genoux aussitôt, tellement rêvé à lui faire ça... J'ai pris son beau gros gland, que j'ai léché, entré dans ma bouche, il m'a pris la tête entre ses deux grandes mains et m'a poussé à fond dans la gorge son gros 8 pouces. Bien à fond... Il m'a fait léché ses grosses couilles velues, me l'a remise dans la bouche, à fond dans la gorge et il a éjaculé dans ma bouche... J'avais la bouche pleine de son bon jus de mâle, que j'ai bien goûté avant de tout avaler... Ça avait un goût plus prononcé que mon sperme, (que j'avais goûté 2 ou 3 fois)...

Me suis relevé et il m'a dit:

— Reste debout devant moi, et vide-toi sur mon ventre.

Je me suis masturbé et en moins de deux minutes,, j'ai lancé 5 grands jets épais sur son corps velu. Il m'a pris la tête vers son ventre et m'a dit:

— Lèche ça, nettoie-moi ça...

J'ai tout léché...

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— Va te coucher... Ça va être super maintenant, un petit frère gai... Plus besoin de me masturber quand je suis en manque... VA TE COUCHER! Il a y avoir d'autres exercices de ce genre-là...

Me suis couché, heureux comme un pinson... J'avais sucé ma première queue et même avalé le premier jus d'un autre gars, et un plus c’était mon beau grand frère...

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Presque deux fois par semaine, surtout quand il était dans la douche, il me faisait sucer son beau gros 8 pouces, que j'aimais sucer jusqu'à ce qu'il se vide dans ma bouche, mais lui, ne me touchais presque pas...

_Ma première pénétration

Un samedi soir, je reviens chez moi, descends en bas, mon frère Frank et son copain Antoine étaient là avec deux filles. Musique douce, lumière faible, ça se tâtait, s'embrassait... Mais j'avais reçu l'ordre de mon frère, dans ces cas-là: je vais direct à ma chambre. Ce que je fis...

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Une trentaine de minutes plus tard, ça gueulait au salon, les deux gars voulaient baiser, les filles ne voulaient pas, j'entendais des bribes de phrases...

— As-tu peur d'une queue? Tu suces pas, ôte tes culottes.

— Non... Suis pas une salope...

— T'es une salope...

Des gros mots en tout cas.....

— Vous êtes agace-pissettes, allez vous-en...

Les filles sont parties en colère, les deux gars encore plus... Critiquaient les filles et Antoine a dit à Frank:

— Mets un vidéo de cul que je me crosse. Je suis bandé raide pas toi?

— Mets en! Il faut que je me vide, mes couilles vont exploser. Me faire agacer comme ça...

— Mets le vidéo et à poil que l'on se masturbe 2 à 3 fois... Mets-le...

Tour deux assis écartillés en mâle. Se touchaient pas. mais jouaient avec leur queues, se masturbaient. Antoine lui dit:

— Clisssss que j'ai le goût d'une bonne pipe, tu en connais pas une qui suce?

— Tu veux vraiment te faire sucer?

— Yessssssssssssssss, appelle-en une...

— J'en connais pas une, mais un... Et il crie: "RAYMOND VIENS ICI!"

Je savais ce qui m'attendait... J'arrive et Frank me dit: "Viens ici et suce nous..."

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Antoine, beau grand blond comme lui et un super gros 8 pouces, son gros gland mouillé... À genoux devant lui et lui gobe sa belle grosse queue bandée raide.

— OUI... Tu connais ça, Ray... Mange-la moi... Ho oui, prends la toute...

Je lui lèche à sa longueur du beau gros gland à ses couilles presque pas poilues... Pas été long qu'il gémissais et a dit: "Ray, avales-tu?" Fais signe que oui... J'ai engouffré son 8 pouces à fond et "HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA" il a éjaculé 6 grands jets de sperme...

Frank a crié: "Viens, à mon tour..." Me suis déplacé vers lui et aussitôt, lui suce son beau gros 8 pouces, connaissais ses parties sensibles, il en gémissait fortement pendant qu'Antoine caressait mes fesses et dis:

— Tu a un super beau cul, de vrai belles fesses... Je suce pas une queue, mais je vais manger ton beau cul...

À genoux derrière moi, il lèche ma craque, mon anus... Hooooooooo que j'aime ça... Je le sens pousser sa langue dans mon cul. Hoooooooooo OUI... Je suçais avidement Frank qui m'a donné sa grande charge de sperme dans la gorge, que j'ai tout avalé...

Antoine me dit:

— Raymond as-tu déjà été pénétré?

— Non jamais. Ça doit faire mal...

— Voyons... Aimes-tu ça ma langue dans ton beau petit trou de cul?

— Oui, c'est bon...

— Et là mon doigt... Ça te fais-tu mal?

— Non, ça va... Juste un peu.

— Laisse-moi essayer, si tu as mal, dis-le, et j'arrête.

— Ok, mais doucement.

Je l'ai senti mettre son gros gland sur mon anus vierge et il pousse, et pousse...

— OHHHHHHHH!!! Arrête, bouge pas, ça fait mal... Reste dedans. mais bouge pas!

— D'accord...

Et il pousse un peu plus, un peu plus... J'ai senti une drôle de sensation en moi. J'ai bandé raide (plus tard, j’ai su que c'était sa queue sur ma prostate). Il a commencé à m'enculer virilement, bien à fond...

— HOOOOOOOOOOOOOOOOOO... Que j'ai lâché.

— Ça fait mal, Ray?

— NON... NON! C'est bon, continue... Oui continue...

Il m'a tenu par la taille fermement et m'a enculé en vrai mâle macho, virilement et dans un cri "HAAAAAAAAAAAAAA, JE VIENS! HAAAAAAAAAA OUI...", je sentais couler son sperme épais sur mes couilles... Il se retire, je regarde mon frère... En souriant... Il a compris vite et à son tour son gros 8 pouces bandé raide, dans le jus de son meilleur ami, il m'enculait à fond, grognait. Gémissait... Et vite "HAAAAAAAAAAAAAA!!!", il mélangeait son sperme à celui d'Antoine et se retire...

"Pas été long!" qu'Antoine a dit...

— Eh les gars. Ne répétez jamais ça à personne... Vous me le jurer...

Frank a dit: "Sûr voyons... Suis pas fou!"

Moi, silence total... Les regardent en souriant et leur dis

— À une seule condition.

— Quoi tu as pas aimé ça?

— Oui, j'ai aimé ça... Je vous ai sucé, vous m'avez enculé... J'exige que vous me suciez tout les deux et je vous promets le silence total... Et un suce ma queue et l'autre mes couilles, à tour de rôle jusqu'à ce que j’éjacule...

— Approche. petit rat... Pas le choix...

Antoine a pris mon 6 pouces dans sa bouche... Frank à 4 pattes léchait mes couilles, son index dans mon cul. Deux minutes et j'ai éjaculé dans la face d'Antoine qui a gueulé, qui m'a dit:

— Satisfais là? Tu vas te la fermer...

— À une autre condition... Que l'on puisse recommencer encore...

— C'est pas une condition ça... Ça va me faire plaisir! Dit Antoine.

À quelques occasions, seul avec Antoine ou plus souvent seul avec Frank, et des fois à trois... Le tout dura un peu plus d’une année...

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Publié dans : Les histoires du net - Communauté : les jeunes exhibes
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