Les histoires du net

Mardi 4 juin 2 04 /06 /Juin 18:31
- Par Benoit-Ange-Demon

http://www.minet.fr/photo-001_minet-gay-le-cul-ecalte-par-deux-40.jpg

Trop envie de me faire baiser ce soir. Je suis allé au parking du Bordelot. Pratique se parking, entre deux accès à l'autoroute. En plus, il y a toujours du monde. Et souvent il y a des routiers, des males qui ont besoin de se vider les couilles. Avant toute chose, laissez-moi me présenter.

Je m'appelle Marc. J'ai 23 ans. Je mesure 1.70 m pour 70 kg, plutôt bien foutu, une petite gueule d'ange ou de démon comme vous voulez. Du plus loin que je me souvienne, j'ai toujours été attiré par les hommes. Je vous raconterai plus tard mes premières aventures sexuelles. Je suis ce que l'on peut appeler vulgairement une salope. Mon trip, c'est d'en prendre plein la gueule et plein le cul. Et pour ça j'aime bien les lieux glauques et sombres.

Ce soir, sur le parking, il fait doux. Je porte juste un short et un tee-shirt. J'ai garé ma voiture dans un coin tranquille et je pars en chasse. Je commence à me balader dans le secteur des camions, c'est toujours ma première visite. Je fais mouche à chaque fois et cette fois ne fait pas exception. Je passe entre deux bahuts. Je remonte de l'arrière vers l'avant. Arrivé à hauteur de la cabine, la porte du coté passager du camion s'ouvre et une voix grave m'ordonne de monter. Je ne cherche pas à comprendre, je grimpe. Je ferme la porte derrière moi. Devant moi, un mec balèze avec un peu de ventre, il porte un tee-shirt et un slip manifestement bien rempli. Il me demande si je suce. Bien sur que je suce et j'avale aussi.

Aussitôt, il me fait signe de me mettre au travail en sortant sa bite à moitié bandée. J'engouffre son membre et commence à le pomper. Il se laisse faire avec plaisir en poussant des grognements. J'agace son gland avec ma langue. Sa bite n'est pas très longue mais elle est assez large. Il me dit qu'il aimerait bien me mettre mais il n'a pas de capote. Ca je m'en fous je lui réponds s'il veut me défoncer je suis ok. Il me fait mettre a plat ventre sur la couchette, positionne son gland sur mon trou et s'enfonce d'un coup sec. Putain le salaud, il m'a ouvert grave. Je serre les dents mais je gémis sous le coup. Il commence à me pistonner, la vache, il me traite comme un trou exactement ce que j'aime. Les insultes commencent à fuser. Bâtard, tapette, enculé, vide couilles. Putain le pied. Il bourrine comme un malade, il me prévient qu'il va m'engrosser. Je le sens se caler au fond de mon cul et je sens les pulsations de sa bite et les jets de foutre qu'il lâche en grognant.

Il se retire et me demande de nettoyer sa bite. Je me remets à genou devant lui et recommence à le sucer. Il attrape sa CB et lance sur les ondes :

- Salut les mecs, juste une info pour vous signaler que sur le parking du Bordelot, il y a un OM salope que se fait défoncer et qui pompe super bien. Grâce à lui je vais passer une bonne nuit.

La réponse ne se fait pas attendre :

- Elle est à péage ta salope ?

- Non, elle est gratos mais comme faut la nourrir elle avale.

- Cool, dis lui de se positionner au fond du parking à l'aire de pique-nique, elle va avoir à manger.

Le mec me regarde et me dit :

- T'as entendu ?

- Oui Monsieur, merci.

- Tu sais où c'est ?

- Oui, j'y vais de suite.

- Laisse-moi ton tel que je puisse te faire signe quand je repasse.

- C'est le 06 ….

- Parfait casses-toi, ils vont t'attendre sinon.

Je sors du camion et me dirige vers l'aire de pique-nique. J'ai l'impression que celui qui va se faire niquer c'est moi. Putain, je suis excité comme une pucelle devant son premier chibre. Je coupe à travers le bosquet pour gagner quelques mètres quand j'entends une vois m'interpeler :

- C'est toi la salope affamée ?

Je me retourne et voit une espèce de mastodonte dans l'ombre.

- Oui, monsieur …

- Cool, viens ici, j'ai les couilles pleines …

Je m'approche de lui. La vache, c'est un géant. Il pose sa main sur mon épaule. Je n'ai pas le choix, je me mets à genou.

- Sors le matos salope !

Je m'exécute. Ouf ! Bonjour le morceau ! J'ai du mal à ouvrir assez la bouche pour le pomper. Putain que c'est bon. Il me traite comme une pute. Il me tient la tête et me ramone la gueule. J'en bave tellement c'est bon.

- Tu te fais tirer aussi ?

Je réponds par un gémissement et un hochement de tête. Je le vois alors faire signe à un autre mec.

- Lèves ton cul.

Un mec derrière moi arrache littéralement mon short et me perfore la chatte. Heureusement que je viens de me faire troncher et que je suis encore lubrifié par le foutre du routier parce que, putain je dérouille. Je ne peux m'empêcher de gueuler.

- Ferme la salope

Il me ramone comme un malade. Je prends mon pied comme jamais avant. Je suis enfin un trou. Je suis embroché par les deux bouts. Mon enculeur est pressé mais celui que je suce prend son temps. Je sens le mecs me remplir le cul, il décule et est aussitôt remplacé par un autre. Le géant que je suce, a manifestement pris les choses en main. Il a l’intention de filer ma chatte pendant que je le suce.  Putain c’est tellement bon que je commence à me branler. Erreur, mon nouveau mac me colle une baffe :

- Ne touche pas à ta bite !

Pour bien me faire comprendre qui commande, il enfonce son dard au fond de ma gorge et le maintient jusqu’à ce que j’étouffe. J’ai compris, j’obéis et en plus, bordel, j’aime ça.

Au total, c’est quatre mâles qui m’ont inséminé. Mon mac se retire de ma gueule et me demande de le suivre. Il se dirige vers un bahut. Il ouvre la porte et me fait monter à sa suite. Il termine de me dessaper et m’allonge sur la couchette, il me menotte et accroche les menottes au plafond de la cabine. Ensuite, il me fait mettre les jambes en l’air et accroche aussi mes chevilles au plafond : je suis à sa merci.

A la faible lueur de la cabine, je le vois. C’est un gorille, tant par la masse que par la pilosité, une bête. Il commence à me branler. Je suis tellement excité que je décharge en moins de 30 secondes.

- Bon ! A moi de jouir maintenant.

En disant cela, il approche son chibre de mon anus. Non, pas ça ! Je ne supporte pas de me faire mettre quand j’ai joui. Je commence à gueuler, mais il a prévu le coup et je me retrouve avec un vieux slip puant dans la gueule. Et la perforation commence. Putain, je dérouille ! Il prend son temps. J’ai l’impression d’être ouvert en deux. Je chiale de douleur et de rage.

Et soudain, un flash, je me mets à gémir comme une femelle. Putain je jouis du cul. Il enlève le slip de ma bouche. Je suis sa femelle et il me baise. Et je le sens jouir en moi.

Le mec me détache et me dit :

- Putain, ça, c'est un bon plan. T'as l'air d'avoir pris ton pied !

- Oh que oui ! pourtant j'ai horreur de me faire défoncer quand j'ai joui.

- Je te garderai volontiers avec moi pendant ma semaine.

- Ca me plairait bien ça …

- Tu pourrais ?

- Cette semaine oui, j'ai pas de boulot en ce moment.

-On part demain matin, après ma pause et je te redépose samedi fin de journée. Entre les deux, t'es ma salope et ma pute.

 

Retrouve l'histoire complète de Pascal écrite par lui même ici : http://histoires-gay-de-pascal.erog.fr/

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Samedi 24 novembre 6 24 /11 /Nov 20:05
- Par Benoit-Ange-Demon

J'ai vu vos votes vous avez appréciez 

voici la suite :)

gay-hot-dog.jpg

Partie 1

Comme prévu sur mes plannings, nous nous sommes donc retrouvés tous les trois pour la fermeture. Comme vous pouvez l’imaginer, il reste beaucoup de travail à faire lorsque le resto est fermé: passer le balai, la serpillière, faire la plonge, ranger l’ensemble des produits. J’avais à peine fini de descendre le rideau que la voix de Maître Jonathan retentit haut et fort:

— Alors Bizut, content de ta journée? Comme tu as pu le remarquer, nous avons tenu notre promesse, alors maintenant c’est à toi de jouer. Pour commencer, il va falloir te trouver une tenue pour que tu fasses le ménage, ce serait dommage que tu salisses ton joli costume.

— Ouais bizut, viens là, approche! Tout d’abord nous allons de faire de beaux cheveux avec cette belle serpillière. Ensuite, tu vas te mettre à poil. Allez bizut, exécution!

LIRE LA SUITE ET LA FIN

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Vendredi 23 novembre 5 23 /11 /Nov 20:01
- Par Benoit-Ange-Demon

les deux nouveaux barmans

Partie 2

Salut à tous. Je me présente: mon prénom est Tom, j’ai 25 ans, il paraît que je suis plutôt bogoss. Mon histoire se déroule il y a de cela deux ans alors que j’étais directeur d’un petit établissement de restauration rapide avec 5 employés. C’est comme une petite famille, on se connaît tous plutôt bien car on travaille très souvent ensemble. J’avais embauché à l’époque deux jeunes mecs qui se connaissaient et qui avaient postulé ensemble. Je trouvais le duo assez sympa et je pensais, vu leur physique, que la clientèle apprécierait. Comme je vous l’ai dit, nous étions proches et nous parlions librement et c’est comme cela que je me suis trahi et que les choses ont commencé à mal tourner. Lors d’une discussion plus ou moins philosophique pendant notre pause déjeuner, nous avons abordé le sujet de la soumission et de la domination... J’étais alors à table avec Jonathan et Rafi, les deux compères âgés respectivement de 18 et 19 ans. J’ai commencé à parler:

VOIR LA SUITE DE L'HISTOIRE

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Dimanche 11 novembre 7 11 /11 /Nov 20:37
- Par Benoit-Ange-Demon

two-gay-boys.jpg

Cela faisait quelques années que je faisais du baby-sitting chez les voisins. Ils ont un fils unique, Corentin, il a trois ans et demi de moins que moi. Je l'ai gardé régulièrement depuis ses 11 ans ou 11 ans et demi. C'était un super gamin, d'une gentillesse à toute épreuve, serviable, très câlin, même avec moi, presque tout le temps sur mes genoux, et le soir, je devais rester près de lui jusqu'à ce qu'il s'endorme. Peu avant ses 14 ans, il a commencé à être plus distant, j'avais bien vu qu'il avait largement entamé son adolescence, je me suis rappelé qu'à 13 ans, j'étais comme lui, froid et surtout en révolte contre tout et tous. Les séances de baby-sitting sont devenues un peu plus compliquées, il fallait batailler pour le mettre au lit et éteindre la lumière, et pour qu'il termine ses devoirs avant de plonger sur ses manettes de jeu, ça relevait de la bataille de Trafalgar, mais malgré ces quelques difficultés, on restait bons copains.

A côté de ça, la pudeur n'a jamais été son fort ; quand il revenait de la douche, il restait à poil et prenait plaisir à se dandiner sous mes yeux, et son adolescence n'a rien changé à son attitude, pire il venait mettre à la hauteur de mon visage son sexe bandé, parfois même en se touchant légèrement pour en entretenir la raideur et mimer une masturbation. Je ne pouvais pas ne pas le voir, j'étais la plupart du temps assis sur le canapé et il exécutait sa petite danse obscène, debout à un mètre de mes yeux. Il fallait chaque fois que je hausse le ton pour qu'il aille, soit enfiler un pyjama, soit se diriger vers sa chambre pour qu'il se couche, et là, il redevenait le petit garçon, je devais lui caresser le dos, juste le dos, jusqu'à ce qu'il s'endorme.

Je n'avais aucun, mais alors vraiment aucun intérêt pour les personnes de mon sexe, je trouvais même ça dégoûtant que des hommes puissent s'aimer et faire des « choses » entre eux, de plus, pour moi, Corentin était un gosse que je gardais pour gagner de l'argent, point-barre.

Mais je serais malhonnête si je disais que ses danses du ventre et du zizi sous mon nez ne créaient aucun trouble chez moi, c'est pour cela d'ailleurs qu'en l'attendant revenir de sa douche, je mettais systématiquement un coussin entre le livre que je lisais et mes cuisses, et il est arrivé plusieurs fois qu'après l'avoir mis au lit, je passe un « certain temps » sur la cuvette des WC. J'avais 17 ans et lui 14, je mettais ça sur le compte des hormones, jusqu'au baby-sitting du mois passé.

Il venait de fêter ses 15 ans, et moi j'en avais 18. Je devais le garder tout le week-end, ses parents étant partis pour un city-trip à Prague du vendredi soir au dimanche soir. Il m'a refait sa danse du ventre, mais cette fois en décalottant complètement son gland sous mes yeux. Il avait un magnifique sexe, plus beau que le mien, orné d'une petite touffe de poils bien sympa, mais je ne voulais pas le savoir. Il m'a demandé de venir le border, ce qui sous-entendait lui caresser le dos, je lui ai répondu que j'allais d'abord prendre une petite douche vite fait, vu que j'avais vraiment trop chaud (!). Je suis revenu de la douche, les reins ceints par une serviette, Corentin semblait à l'orée du sommeil, mais il a gémi en m'entendant approcher de lui, je me suis donc assis comme d'habitude sur le bord de son lit, il était nu comme à l'accoutumée, son dos vers moi, et je l'ai caressé comme je le faisais depuis des années pour qu'il s'endorme.

http://www.minets-gays.net/blog/wp-content/photos/82841/photos-sex-homme-photos-de-fellation-gratuites.jpg

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Mardi 6 novembre 2 06 /11 /Nov 20:19
- Par Benoit-Ange-Demon

Cette histoire serait presqu'une histoire vraie.

En effet, je suis du genre à allumer.

Mais attention quand même.

Heureusement que je n'étais pas seul

sinon je passais à la trappe aussi. 

http://actualite.des-gays.fr/wp-content/uploads/hammam-gay.jpg

Ce que j’adore par-dessus tout, c’est de passer mon temps au Sun City, cet immense sauna situé en plein cœur de Paris. Étant mignon et bien foutu, j’adore me pavaner devant les mecs qui sont souvent en rut. Il ne faut pas y aller un dimanche après-midi où c’est tellement fréquenté qu’il n’y a plus assez de serviettes et les mecs ne font finalement que tourner en rond. Il faut y aller un soir en pleine semaine… là, on a plus de chances de rencontrer de vrais mecs, parfois même hétéro qui sont juste là pour se vider.

Je savais qu’aguicher les mecs finirait par me jouer des tours et ça n’a pas loupé ce lundi soir.

J’avais décidé de prendre du bon temps car j’étais off le lendemain. Ce que j'adore faire, c’est de me montrer en me douchant dans les douches ouvertes, alterner hammam et douche. Après, une fois que les mecs m’ont remarqué, ils me suivent dans l’espoir de baiser avec moi… mais je les fais poireauter car je ne baise qu’avec celui qui me plaît le plus.

Ce soir là, personne ne me convenait vraiment. Du coup, je ne voulais que m’amuser. Je les aguichais du regard mais lorsqu’ils rentraient dans une cabine pour m’inviter à les rejoindre, je passais devant sans même les regarder.

http://3.bp.blogspot.com/_sd4jsqagpiU/ShqOny1zXhI/AAAAAAAAB6o/ADyUB2Y-rVg/s400/fran%C3%A7ois+sagat.jpg

J’avais déjà remarqué un rebeu, la trentaine, regard pervers et mâchoire carrée qui me tournait autour. C’est le genre de mec qui choppe facilement. À lui, je décidais de faire comme aux autres. Plusieurs fois je lui rendais son regards pervers par un regard de salope; lorsqu’il crut que c’était gagné, je passais devant sa cabine sans le regarder… ce jeu m’amusait car je voyais qu’il commençait à pester. Je le croise devant la cabine à côté du fumoir, même scénario. Je passe devant sans le regarder. Intérieurement je riais….

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