Les histoires du net

Lundi 5 novembre 1 05 /11 /Nov 19:44
- Par Benoit-Ange-Demon

J'ai toujours aimé lire des histoires illustrées.

Avant il y en avait beaucoup sur le net maintenant

j'ai beaucoup de mal à en trouver.

L'histoire n'est pas de moi, mais j'ai incrusté les tofs entre deux.

J'espère que tout comme moi vous allez aimer :)) 

Si vous avez des histoires je suis preneur

j'y mettrais ma touche en intégrant des photos

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Il y a un an, presque jour pour jour au moment où j’écris cette histoire (ce qui revient donc à la toute fin juin 2007), je suis parti de chez moi pour aller visiter un ami à moi vivant près de Montréal (à ce moment, je n’y habitais pas encore). Il se nommait Mario et c’était un gars que j’avais rencontré lors d’une réunion de gens plutôt spirituels, mais tous amis, quelques mois auparavant. À ce moment, une des femmes s’occupant de la rencontre savait que je désirais avoir un copain et elle a pensé tout de suite à Mario… avec erreur: il n’était pas gay, même pas bisexuel! Je fus légèrement déçu et l’autre jeune homme, à peine un an plus vieux que moi, expliqua à la femme leur malentendu: ce n’est pas parce qu’il était célibataire depuis longtemps et qu’il avait dit: «je ne veux pas de blonde» qu’il voulait dire «je suis homosexuel et je veux un chum». Malgré toute cette expérience, Mario m’apprécia beaucoup et nous nous sommes mis à nous contacter très souvent sur Internet jusqu’à ce qu’il me dise de venir le visiter quelques jours, ce que je fis.

Je suis arrivé près de chez lui en autobus, le vendredi soir, pour une période d’une semaine (avant d’aller à Montréal voir quelques amis). Pour vous décrire Mario physiquement, j’irais ainsi: il est un peu plus grand que moi (je fais environ 5 pieds 10 pouces et lui 6 pieds), il est légèrement musclé (travaillant dans une usine), une taille fine, un tatou sur le bras, des cheveux longs jusqu’au milieu du dos et des yeux verts magnifiques. Sa bouche, elle, est appétissante. Il avait une barbe à mon arrivée mais il l’a rasée complètement le lendemain. Bref, croyez-moi, je suis tombé pour lui! Mais je m’étais promis de ne pas profiter de la situation! En effet, nous allions dormir ensemble dans la même pièce, moi sur le sofa et lui sur son matelas directement à terre.

La température était très chaude en cette fin de juin. Tous les jours, le soleil frappait fort et c’était humide. Trois jours par semaine, Mario devait aller travailler du matin au début d’après-midi. Entre temps, il me faisait confiance pour rester seul. Des fois, je lavais même la vaisselle que nous avions laissée traîner la veille (vous savez, entre gars!). Quand il entrait, de travailler avec son vélo, Mario était épuisé mais en forme pareil. Ses t-shirts étaient tous trempés de sueur et devant moi, il les enlevait, me montrant son superbe torse humide. Il était presque toujours nu pieds et portait des pantalons courts, laissant voir ses jambes quelque peu poilues. De plus en plus, j’étais sous son charme! Une fois, je le lui en ai même parlé:

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— Tu sais, dis-je gêné, tu es un gars super… spirituel et gentil… et en plus très mignon je te l’avoue… Si j’avais un chum, j’aimerais qu’il soit comme toi…

Tout bonnement, il me répondit:

— Merci, c’est un beau compliment que j’accepte! Pis, pour le reste, t’as juste à changer de sexe et ce serait parfait!

Ainsi, il venait de me dire, je crois, qu’il m’appréciait beaucoup également… ça m’avait fait chaud au cœur.

Une après-midi, je suis sorti de la douche avec mon dildo que j’avais secrètement apporté pour le voyage. En ouvrant ma porte, je le tenais bien à découvert dans mes mains. Je me croyais seul mais je suis tombé face à Mario, qui fit un sourire en voyant mon "jouet".

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— Tu t’es bien amusé? me dit-il.

— Euh…

— T’inquiètes, tu peux le faire quand tu veux, tant que c’est dans la douche ou sur ton sofa la nuit, mais pas dehors sur le balcon, me dit-il en blaguant.

— D’accord, dis-je un peu gêné, les joues probablement rouges.

En effet, quand je prenais mes douches, j’en profitais pour me pénétrer avec le dildo. Malgré sa permission, je ne l’ai jamais fait sur le sofa la nuit, ayant peur qu’il me voie le faire.

Bref, un soir, nous sommes rentrés d’un resto où il avait mangé des sushis et moi des trucs moins exotiques:

— J’ai envie de t’emmener chez ma mère, dit-il. Elle est pas là ce soir, et je veux qu’on essaye son spa. C’est pour quatre places alors on peut y entrer facilement!

— Ouais, ce serait cool!

http://towleroad.typepad.com/photos/uncategorized/quinto_zachary.jpg

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Mercredi 1 juillet 3 01 /07 /Juil 14:24
- Par benoit-ange-ou-demon
Retrouve une autre histoire de Roby :
Une après midi de printemps

L’inconnu familier.

Tout commence par un dial, sur le net évidemment. Jeffrey, appelons-le comme ça, m’adresse son premier message. Curieux je lui répond. Il est tard, en ce dimanche soir où je ne vais pas tarder à aller me coucher. Cependant, entre Jeffrey et moi, le contact est immédiat. Je ne sais pas encore que j’ai à faire à un garçon qui vient de me choisir en consultant mon site personnel. Lorsque je comprendrai, il sera trop tard. A partir de cet instant nous échangerons chaque jours et plusieurs fois par jours. Jeffrey est un habile séducteur qui a déterminé que mon profil correspond au fantasme qu’il souhaite assouvir. Je n’en serai que l’objet. Et quel objet !

C’est ce que je vais vous raconter maintenant.

Jeffrey à une trentaine d’année, il fréquente une jeune fille mais à une folle envie de vivre une expérience avec un garçon. L’objet de nos échanges sera invariable tout au long de la semaine qui précédera notre rencontre : préparer le moment que nous passerons ensemble. Tout est réglé dans le moindre détail. Nous y sommes enfin. C’est le jour J. Le dernier soir d’un long week-end. Le téléphone sonne et comme convenu il m'annonce sont arrivée. Le son de sa voix me galvanise. En quelques mots je perçois le désir qui est en lui. Il s’invite à un jeu qui lui semble interdit. J’ai laissé volontairement la porte d’entrée de l’immeuble ouverte. Il le sait. Un peu avant minuit, il entre doucement chez moi.

Tout est dans l’obscurité la plus totale. A taton, il trouve l’entrée de ma chambre. Je ressens déjà sa présence. Je perçois le bruit discret de sa respiration qui accompagne celui léger et si excitant que produit le glissement des vêtements sur sa peau. Je le devine à la seule lueur du réveil. Il est grand, bien bâti et je le trouve beau. Avec délicatesse il se glisse sous ma couette et vient me rejoindre. Nous sommes nu tous les deux cote à cote. Il se rapproche de moi. Il est frémissant. Mon coeur bat la chamade. j’ai plus peur que lui. Nos corps se rejoignent comme attirés irrémédiablement l’un vers l’autre. Je pose un baisé sur ses seins, puis son ventre, il se détend. Je le caresse délicatement. Il est doux, musclé. Sa peau et fine avec une souplesse et un grain soyeux que je n’oublierai jamais. Ses poils fins et sec sont souples et agréables sous ma langue. il dégage une odeur subtile et envoûtante à la fois. Tout en lui n’est que force et volupté, virilité et retenue. Je vais tout lui donner. Avec ma bouche habile je le possède déjà. Il se livre à moi. La force de ses muscles est sans effet. Maintenant elle se trouve ailleurs, elle est devenue fougue et passion.

Comme à mon habitude, je profite de chaque centimètre carré de son corps. Mais, comme convenu, avec légèreté pour ne pas l'incommoder. Avec ma bouche je capture son sexe tendu, pour immortaliser sa splendeur et sa vigueur du à son jeune âge, mais aussi sa douceur et son goût suave. J’en découvre les lignes et les formes avec ma langue. J’en perçois les frémissements qui accompagnent mes mouvements de vas et viens. Il est tout à moi désormais. Quel sexe merveilleux ! Long, fin et fort à le fois, dans une harmonie de courbes et de formes qui le rendent irrésistibles. Je ne le lâche plus, il veut le prendre en main, je le repousse avec une délicate fermeté. Mais je joue avec pour lui apporter le plaisir qu’il est venu chercher. Les minutes passent et j’en profite pour caresser son corps en même temps. Je stimule ses sens pour sentir ses muscles se contracter. Profiter de cette expression de puissance que dissimule l'excitation due à la situation qu’il est en train de vivre. Il est venu chercher des sensations uniques, je dois les lui donner. Qui est ce prince ? Pourquoi m’a-t-il choisi ?

Je dois immédiatement percevoir ses réactions et m’adapter, pour le satisfaire. Lui, en retour, me laisse assouvir ma curiosité en m’abandonnant son corps. Je lui dit qu’il est beau, que son sexe est envoûtant. Je me livre à un exercice de recherche avec ma langue pour découvrir chaque partie intime de son anatomie la plus cachée. Rien ne m’échappe. Je perçois des saveurs et des odeurs très masculines, sensuelles, puissantes qui subjuguent mes sens. Le bout de ma langue ressent des sensations de finesse de souplesse que je n’ai jamais connue au paravent. Je caresse ses fesses, ses cuisses, ses mollets, ses pieds dont la fraîcheur excite encore plus mes mains. Et je perçois toujours cette puissance et cette douceur, si particulière, qui est en lui. Quelle harmonie dans ce corps. Notre rapport est rythmé par des paroles douces qui expriment notre respect l’un pour l’autre et notre désir de tout nous donner. C’est magique. Il me demande s’il peut profiter de moi, de la partie la plus intime de mon anatomie pour y trouver son plaisir ultime. J'acquiesce, je l’ai fait venir pour ça. Il me prend avec force et délicatesse. Avec puissance et respect. Je le sent en moi, il y est bien. J’aime cette sensation unique que procure un sexe en parfaite harmonie avec mon corps. il s’y installe confortablement je ressent un plaisir grandissant et envahissant au sein de mon ventre.

Les minutes passent, il est toujours en moi. Maîtrisant l’intensité de son plaisir pour faire durer le mien. Je l’aide en lui parlant pour canaliser sa fougue. Il étreint mon corps avec une force inouïe. Je me redresse afin de sentir son souffle glisser sur ma nuque. Il n’en peu plus. Il joui puissamment dans des mouvements qui diffusent une sublime sensation orgasmique dans tout mon abdomen. Il se retire de mon corps. C’est la fin d’un échange fort et sensuel à la fois. Viril et sublime. Je viens de satisfaire un jeune homme magnifique sous de multiples aspects. Il s’est écroulé prés de moi afin de reprendre ses esprit. Je le caresse, l'apaise. Son souffle et sa voix me font comprendre que le voyage est réussi. Après quelques instants de répit et avec beaucoup de discrétion, Il quitte mon lit et, une fois habillé, ma chambre, non sans oublier de me remercier de mettre offert à lui. Je n’ai pas le temps de lui dire tout le plaisir qu’il m’a donné qu’il est déjà parti. Mon corps s’en souviendra pendant trois jours.

Je viens de vivre une expérience d’une rare intensité. Je suis frustré de ne pas l’avoir vu. Mais aujourd’hui c’est différent. je peux l’imaginer en laissant libre cours à mon imagination. Privé de la vue tous mes autres sens étaient exacerbés. La perception du plaisir n’en a été que plus grande. Dans la nuit, nous n’avons pas vu nos inévitables défauts pour ne conserver de nous que le souvenir d’une rencontre parfaite. Je sais qu’il habite près de chez moi. Je le croise peut-être sans le savoir. Il sait qui je suis et j’ignore tout de lui. Tout ! Non, sauf le meilleur de son corps qu’il m’a fait partagé. Il m’a offert le plus beau des cadeaux. Lui.

Au moment où je relis ces lignes nous nous sommes revu. Le plaisir fut tout aussi intense que la première fois. Mais j’espère que vous me pardonnerez car je n’ai pas envie de les partager cette fois. Il est des plaisirs qu’il faut savoir préserver.

Roby.
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Lundi 29 juin 1 29 /06 /Juin 09:54
- Par benoit-ange-ou-demon

Ce matin jme suis levé tranquille a 10H00, jdéjeun, jprend ma douche, vers 11H00 jpars jdevais rejoindre des amis, je sors de chez moi pour attendre l'ascenseur et je vois une putain dbelle fille 20-25 ans, et  moi 20ans, on se dit bonjour. Jvois kelle n' a pas l'aire contente, puis elle me dis kelle a sonné plusieurs fois chez moi pour un sondage et ke personne ne lui a ouvert, jlui di ke j'étais surment à la doucheP plus jla regarde plus mes 16 cm se metttent au garde a vous, elle a dû le remarké kar elle me souriait et elle a commencé a srapproché de moi. L'ascenseur arrive on entre dedans, on s'arrete au 11ème une mère avec une poussette entre et pour faire de la place Carla ( c son nom) ce colle a moi, et sa main frole ma teub ki bande toujours, puis elle commence a me la caressé, jbande de plus en plus j'en peux plus et là la mère et sa poussette descendent au 7ème. Carla se jette sur moi et on s'embrasse puis elle s'arrette, pendant un moment j'ai cru ke s'était juste pour me chauffé mais non elle appuie sur le 13, jlui demande pourkoi elle a appuyé elle me dit kelle ne voulait pas etre vu, donc on arrete de s'embrasser on arrive au redchausser oufff personne entre, les portes se referment et on monte chez moi, arriver chez moi on se jette l'un sur l'autre et on va dans la salle a mangé, elle s'assied sur la canapé, elle soulève sa jupe baisse son string et jlui bouffe la chatte je pars dans 1 cunnilingus d'enfer a n'en plus m'arreté, et elle a un magnifique orgasme, puis elle se relève et sors ma teub pour la bouffé, Carla s'y prend comme une Reine, jamais on m'avais pompé ainsi. Avec sa langue elle me lèche le gland puis tout le long de la queue, elle descend aux couilles remonte et redescend, huuum trop bon, mais avant de craché ma jute jl'arrete car j'ai envie dla baisé, elle smet bien sur le canapé et jlui bourre son garage a bites pendant quelque minutes, je me retire m'asseois dans le canapé et la fait monté a califourchon sur moi, elle est face a moi on se roule des pelles. Je me retir encore et cette fois-ci pour la sodomisé, mais avant jla doigte pour facilité mon entrée. jlui mes 1, puis 2 puis 3 a la fin elle a droit a tout mes doigts limite si je la fist pas, Kan je vois ke son trou est bien ouvert je lui crache dessus pour lubrifier et la pénètre en douceur, jreste à l'interieur un peu et lui bourrine le fion, elle cri et sa m'excite encore plus, de temps en temps je me retire total pour voir son cul bien béant et dilaté par ma bite et jre-entre et jrecommence plusieur fois, au bout 10 minute je jouis en elle je me retire, mon sperme coule de son trou, jla lèche et met le sperme dans ma bouche et jvais l'embrassé et on stape une pelle au foutre. Elle se rhabille et elle part, moi aussi jme rhabille et jvais rejoindre mes potes avec 1H00 de retard et sur le chemin g pa c c de pensé à ça.

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Mercredi 22 avril 3 22 /04 /Avr 10:00
- Par benoit-ange-ou-demon

Histoire proposée et écrite par Roby
Pour ne pas oublier les bons moments passée il écrit.

Une après-midi de printemps.

 

L’instant est irréel. Il avait dans la vingtaine et va entrer dans ma vie, alors qu’il y a moins d’une heure j’ignorais sont existence. Le rendez-vous est pris. Qui est-il ? Que fait-il ? Ce qu’il veut, je le sais. Ou du moins, je pense le savoir. Le sait-il lui même à cet instant ? Le temps passe et je m'affaire à préparer son arrivée. Ce n’est pas primordial, mai pour moi, si. Bien le recevoir c’est important. Après tout, il est dans la même situation que moi. Il recherche un plaisir qui est parfois difficile à satisfaire, mais il ne sait pas avec qui il va le trouver. Tout es prêt.

J'attend. Il ne vient pas. Il ne viendras certainement pas. J’ai du être maladroit. Il a du changer d’avis. Penser que sa démarche était surréaliste. Le téléphone sonne enfin. Mon coeur se met à battre. Je décroche et j’entend sa voix. C’est notre premier contact. Je vais ouvrir la porte, mais il s’est trompé d’entrée d’immeuble. Je l'aperçois dans la rue. Je l’appelle. Il n’entend pas. Il hésite devant cette porte, il semble perdu et lointain. Soudain, nos regards se croisent. Il viens vers moi. J’entre pour être prêt à l’accueillir. Il entre discrètement à son tour et découvre un univers qui n’est pas le sien.

 

Je le guide tout en essayant de le mettre à son aise mais il est tendu. Il ne peut s'empêcher de me le dire. Ca ne doit pas être facile pour lui.
Je prend les choses en main. J’ai autant le trac que lui. Il est beau, et même très beau. Son visage bien dessiné est posé. Ses yeux sont captivant. Son regard magnifique. Je l’aide en douceur, et avec une certaine maladresse, à ôter ses vêtements.
Je découvre son corps. Je le caresse doucement sans savoir si cela lui plaît vraiment. Il se détend. Tout va bien. J’embrasse son ventre avec sensualité. En caressant sa poitrine, je perçois les battements de son coeur. C’est envoûtant. J’embrasse ses seins. Il sont doux et suaves. Ma bouche découvre la douce saveur de sa peau . Mon nez capte son odeur, masculine, chaude et légèrement épicée. Il respire la jeunesse, la pureté, la puissance et la vie. Il s’abandonne à moi.
 

Je poursuit irrésistiblement ma route vers son sexe. Je le capture, le goûte, le lape avec ma langue. A cet instant, son corps m'appartient. Sa verge se gonfle progressivement. Je respecte cette lenteur naturelle. Chaque homme ayant son propre rythme dans l’abandon vers le plaisir, il ne faut pas le contrarier. Je suis moi-même sous le charme de ce corps harmonieux et capiteux. Je suis guidé par des pulsion irrésistibles. J'obéis au frémissements de ses muscles et à son souffle qui me donne les plus belles indications sur l'intensité de ce qu’il est en train de vivre. Soudain, il s’abandonne. Il a lutté de toutes ses forces pour retarder cet instant, mais il ne peut plus se contrôler. Il est beau à voir dans la jouissance. L’instant n’en n’est que plus magique, plus intense, il ne lutte plu et pense que tout est fini, alors que nous n’en sommes qu’au début. Il semble gêné, je le rassure, le calme. Je lui prodigue caresses et massages. J’en profite pour découvrir chaque parcelle de son corps. Sous mes doigts, je perçois le grain de sa peau, sa chaleur, la douceur de ses poils, ses courbes le galbe de ses muscles. Il ne résiste pas. Se lâche. Sombre parfois dans un demi sommeil. La tension physique retombe. Je passe ma langue entre ses orteils. Puis, mes caresses se font plus précises, plus douces. Ma langue coquine viens palper l’intimité de son corps. Elle se glisse dans les recoins les plus sensibles de son anatomie. Mes doigts glissent entre ses fesses en lui procurant des sensations nouvelles qu’il a du mal à décrire mais dont il semble apprécier les effets. Il s’abandonne à nouveau, non sans avoir ressenti une nouvelle vague de plaisir à la fois plus profonde mais aussi plus vive. Au moment où il me demande de cesser, je sais que j’ai gagné la partie. Mai j’ai encore envie de profiter de lui en entier. J’utilise de nouvelles armes pour le ramener dans cet univers de plaisir charnel qu’il est venu chercher. Ce sont mes mains qui livrent l’assaut final. Mes gestes se font plus pénétrants. Il s’abandonne à nouveau et avec plus d’intensité encore. J’ai découvert la voie qui lui apportera de nouvelles sensations. Il n’a pas l’habitude, je retiens mon ardeur pour ne pas franchir cette frontière qui sépare le plaisir de l'excès. Soudain, il se dresse. Nos corps se rencontrent, se frôlent. Il se blotti contre ma poitrine. Mes caresses se font encore plus vives, plus profondes. Ma bouche le déguste avec force et passion. Je parcours son dos avec ma langue et mes lèvres. Il est doux et savoureux. J’ai envie de le mordre. Je le serre contre moi en caressant sa poitrine virile. Je suis surpris et heureux de le voir ainsi.

 

Le combat se termine. Il a été un guerrier redoutable de vigueur, d’envie, d’énergie, mais également de sensualité, de douceur et de beauté. Il se rhabille en m’expliquant qu’il est là pour la semaine. Je l’invite à revenir s’il le souhaite. Le fera-t-il ? Qui sait ! En attendant, nous avons vécu ensemble un moment d’une belle intensité. En écrivant ses lignes, son odeur est encore en moi. Je sens encore sa présence. J’espère lui avoir donné ce qu’il souhaitait trouver. J’y suis certainement arrivé, mais pas totalement. C’est mieux ainsi. Il est des plaisirs auquel le corps doit s’habituer avant de découvrir les suivants. Après son départ je suis heureux d’avoir fait sa connaissance. Il m’a procuré une sensation indescriptible, profonde. Vers la fin de nos ébats, nous avons partagé un moment rare et intense que je n’oublierai pas. Ses dernières paroles furent: “J’ai ton téléphone”. Tu peux revenir quand tu veux, lui dis-je.

 

Les jours ont passés. Le beau jeune homme n’a pas rappelé, il n’est jamais revenu. Il n’a jamais donné signe de vie. Il ne m’a même jamais remercié de lui avoir fait partager une tranche de vie en lui procurant ses premiers plaisirs masculins. Sans doute se souvient-il des sensations physiques qu’il a ressenti lors de notre rencontre. Ca première relation avec un homme. Mais il aura tôt fait d’oublier celui qui a su le satisfaire sans rien demander en retour.

 

Je termine ce récit avec nostalgie. Dans mes relations avec les hommes, je découvre un aspect de leur personnalité qui me fascine. Je ressent ce qu’ils sont vraiment, naturellement et au plus profond d’eux-même. Pas ce qu’ils ont appris à être. Pas ce qu’ils doivent monter pour pouvoir exister et se faire une place au soleil. Avec moi ils sont eux-même, sans complexe. Leur beauté naturelle, qui est parfois cachée, est toujours exacerbée. Tous leurs sens sont en éveils. Ils sont authentiques. Je les aimes comme ça.

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Lundi 6 avril 1 06 /04 /Avr 15:28
- Par benoit-ange-ou-demon

Dodo avec mon Frère

 

01.jpg J’ai toujours été un enfant fragile, maladif. Petit, j'avais l'habitude de dormir avec maman quand ça n’allait pas trop. Un jour, je devais avoir treize ans, mon père décida que ce n'était plus très sain et il m'interdit purement et simplement l'accès au lit des parents. Dans les mois qui suivirent cette interdiction, je connus plus souvent l’angoisse que la maladie. Je pris donc l’habitude de demander asile dans le lit de mon grand frère. Il n'y avait aucun sous entendu sexuel dans ma démarche; juste une demande de soutien...

 

L’été de mes seize ans, mon petit chien fut écrasé par un chauffard juste devant notre maison. J’étais effondré. Mon frère – qui avait dix-neuf ans – essaya de me consoler. Alors qu’il ne l’avait plus fait depuis quatre ans, il m’accueillit dans son lit. Je n’arrivais pas à me calmer, secoué par de gros sanglots. Vincent me prit tendrement dans ses bras, et, voyant que je me calmais, ne tarda pas à me laisser m'endormir contre lui. Je ne dormais pas profondément mais je me sentais si bien que je ne bougeais pas. Je sentais le souffle régulier de mon frère dans mon cou et, surtout, son corps chaud pressant le mien. De le sentir abandonné ainsi tout contre moi provoqua une douce chaleur dans mon bas-ventre très vite suivi par une belle érection. Dans un premier temps, je me sentis assez mal; j'avais honte de mon attitude.

Vincent finit par s’endormir.

Ma main glissa sur son ventre et en-dessous. Je ne saurais vous dire le choc que j'ai ressenti au contact de son ventre plat et ferme! Ce fut pour moi la plus formidable expérience érotique de toute ma vie, la réalisation d’un fantasme obsédant... Malgré tout ce qui a pu arriver par la suite, je garderai toujours un souvenir inoubliable de ce premier émoi charnel. Car c’était réellement ma première fois! Bien sûr, j’avais embrassé plusieurs filles, peloté dans les boums les plus audacieuses mais tout ça n’avait pas été plus loin. Là, c’était autre chose! D’abord parce que j’avais compris qu’entre les filles et les garçons, mon cœur balançait plus du côté des quéquettes. Ensuite parce que j’avais là, sous la main, un corps souple et brûlant, n’attendant que mes caresses... J’ai dû commencer mes travaux d’approche du bout des doigts. Très vite, je me suis enhardi.

J'étais manifestement trop excité par la suite car, alors que je pétrissais à deux mains son cul ferme et velu, il se réveilla brutalement.

— Eh, mais... David! Qu’est-ce que tu fous?

— Je...

Je m'écartais aussitôt et disparaissais de l'autre côte du lit. Je feignais de dormir mais il alluma la lumière et me secoua violemment. Je jouais à celui qui est à moitié endormi. Je n’étais sûrement pas très convainquant!

— David, tu peux m'expliquer ce que tu faisais?

— Mais rien, Vince! je dormais.

— Je ne crois pas non...

— Laisse-moi dormir.

— D’accord, mais on en parlera demain... mais va dans ton lit!

— Pourquoi?

Je savais que je méritais ça. J'étais encore surpris par la rapidité avec laquelle les événements s'étaient enchaînés et sous le choc de mon audace. Je bandais toujours comme un âne et j’avais la tête envahie par des désirs inavouables.

C’est d’humeur maussade que j’ai regagné mon lit. Je me suis couché dans un état d’énervement pas possible. Ma tête fourmillait. Je n’avais plus qu'une idée en tête: baiser avec mon frère, le beau Vincent... Je prenais conscience que j'avais été trop loin mais ce qui était fait... Je me suis branlé en fermant les yeux. Enfin rassasié, j’ai réussi à m’endormir.

Il a fallu attendre 17h pour me retrouver seul avec mon frère. J’étais installé devant mon PC lorsqu’il frappa à la porte de ma chambre. Il poussa la tête et demanda:

— Je peux?

— Oui.

Un silence gêné s'installa entre nous. Il se jeta à l'eau:

— David, tu vas m'expliquer ce qui t'a pris cette nuit! Je suis assez surpris par ton attitude...

— Je... je le suis aussi!

— Ah bon? C’est ça ta réponse!

— Écoute... je comprends tout à fait qu'à ton âge on éprouve des... enfin... tu vois ce que je veux dire... mais je suis ton frère!

— Je ne vois pas où tu veux en venir.

— C’est ça... Joue les innocents! Tu es doué pour ça!

— ...

— Tu as déjà fait «des choses» avec une de tes copines de classe...

— ...

— Tu comprends ce que je te dis?

— Je ne suis pas débile!

— Il y a des moments où on pourrait en douter!

— Non, je n’ai jamais «couché». C’est ça que tu voulais savoir?

— J’ai besoin de savoir certaines choses, frangin... Il m’est impossible de continuer à vivre comme si rien n'était arrivé.

— Moi, je peux!

Cette première conversation s’est arrêtée là et Vincent a quitté ma chambre.

 

02.jpg Un soir, Vincent a fait toute une scène parce que la clef de la porte de sa chambre avait disparu. Il avait pris l’habitude de s’enfermer la nuit et papa avait dû trouver ça contraire à ses principes. J’ai regardé Vincent dans le blanc des yeux et je lui ai dit:

— Pourquoi veux-tu t’enfermer? Tu as peur de quelque chose... ou quelqu’un?

— Cause toujours, tu m’intéresses...

— Ne t’inquiète pas, gamin, tu peux dormir tranquille...

Il ne l’a pas trop montré mais je suis certain qu’il a été vexé.

— Tu es malade ou quoi!

— Fou peut-être... peut-être fou d’amour...

— Bon, je vais me coucher...

Durant les jours qui ont suivi, mon frère est resté sur la défensive.

Nos rapports étaient forcément devenus différents. Je sentais que quelque chose de trouble venait de se nouer entre Vincent et moi mais je ne pouvais pas expliquer ce lien... J’ai compris bien plus tard qu’il se sentait coupable et qu’il était très malheureux. Très malheureux de m’avoir détourné du droit chemin! Sans le savoir, je venais de secouer la vraie nature sexuelle de mon frère et mon comportement durant les jours qui suivirent ne fit qu'accentuer l'issue inéluctable de notre relation... Comment aurais-je pu savoir que mes parents avaient deux fils complètement pédés?

Vincent luttait depuis des années contre une homosexualité plus que latente. Il se fabriquait – comme tant d’autres! – une image de beau gosse hétéro et macho... et il y parvenait tout à fait. Il était sorti avec des tas de filles qui ne faisaient jamais courir aucune rumeur équivoque à son propos. Il devait certainement s’en sortir avec brio.

Les jours qui suivirent, je fis exactement comme si rien ne s'était passé. De son côté, plus le temps passait et plus mon frère adoptait un étrange comportement avec moi. Lui toujours si discret et réservé n'hésitait pas, dès que nos parents étaient absents, à se présenter devant moi en boxer ou en bas de pyjama. Le printemps montra le bout de son nez et les premiers beaux jours arrivèrent. Je passais le plus clair de mon temps allongé dans un hamac au fond du jardin. J'avais constamment la trique et bien du mal à le dissimuler.

03.jpg Et puis, le jour J arriva. Nos parents étaient partis en Bretagne pour cinq jours et nous étions seuls à la maison. J’étais en maillot dans mon hamac et Vincent faisait des paniers avec un de ses potes près du garage. Je bandais ferme. L'air de rien, mon frère jetait souvent un regard en coin pour découvrir l'effet qu'il produisait sur moi. Entre nous, c’était vraiment un jeu de la séduction... Il continuait ses mouvements lascifs à quelques mètres de moi et faisait tout ce qu’il pouvait pour me maintenir dans cet état d’excitation. Je décidais donc de tenter le tout pour le tout le soir même. Vers 21h30, comme la nuit tombait, son pote rentra chez lui et nous nous sommes retrouvés seuls tous les deux. Il faisait plus frais et il avait enfilé un polo hyper sexy qui lui arrivait au-dessus du nombril et un boxer tout aussi moulant. Nous avons dîné légèrement en nous enfilant deux bouteilles de rosé. Il était si beau, mon frère. Ses grands yeux noirs brillaient dans la pénombre et, avec quelques verres de vin dans le nez, il se montrait plus volubile. Un peu pompette, il m'a souhaité une bonne nuit puis est monté se coucher en titubant.

— Tu n’as pas besoin d’aide, Vince? ai-je lancé.

— Si j’ai besoin d’aide, je t’appelle.

— D’acc!

J'ai accompagné des yeux son petit cul rond qui ondulait devant moi. C’était divin! Il a dû sentir le poids de mon désir car il s'est arrêté, s'est retourné et m'a jeté un regard brûlant avant de disparaître dans les escaliers.

J’aurais pu tomber là d’un coup, foudroyé par son regard de braise.

05.jpg J’ai hésité. Finalement, je me suis couché dans mon lit. La nuit était bien entamée quand je me suis mis à hurler. Vincent s’est réveillé et s'est précipité dans ma chambre pour voir ce qui se passait.

— Hé David! Frangin, qu’est-ce qui se passe?

Il a allumé la lumière et j'ai eu un choc: il était nu comme un ver... superbe...

J’étais tout tremblant. Ce n’était pas de la comédie et il l’a compris de suite. Il m'a pris dans ses bras pour me réconforter et le contact de sa peau chaude m'a foudroyé.

— Tout va bien, mon chéri, je suis là!

— Vincent, serre-moi! Je ne me sens pas bien du tout... Reste avec moi!

— Calme-toi, ça va passer.

— S’il te plaît! Reste avec moi... rien qu'une fois... J’ai des angoisses. Je ne suis vraiment pas bien...

Il me serrait dans ses bras et les effluves que son corps dégageaient étaient très excitantes. Je respirais son parfum naturel de mec.

— Bon, fais-moi une petite place dans ton lit! Grand bébé, va!

Fou de joie, j'essayais de calmer un peu la trique qui me tordait le ventre. Il est allé éteindre dans sa chambre.

— Allez, on se couche et on se dépêche de dormir. Demain, j’ai cours à huit heures!

— Tu rigoles... Demain, c’est samedi!

Il s’était glissé dans mon lit et, immobile, n'osait pas faire un geste. J'entendais sa respiration régulière à quelques centimètres de moi.

— C’est que tu as raison en plus! Avec l’absence des parents et ces quelques belles journées à glander, je n’ai plus mes repères!

— Si tu crois que j’ai encore les miens de repères...

06.jpg En me retournant, j'ai effleuré son corps. Ma main est tombée sur son ventre. Quelle ne fut pas ma stupeur de découvrir qu’il bandait comme moi.

— Retire ta main! Vite! Je t’en prie...

— Pourquoi?

Je n’avais pas envie d’écouter sa réponse et plus envie de parler. Je voulais agir. N'en pouvant plus, j’ai commencé à le caresser, d'abord timidement puis avec des gestes plus appuyés. J’ai massé son torse de manière circulaire en élargissant le cercle à chaque passage. Je caressais maintenant son ventre et il se laissait faire.

— Ça devait arriver, Vincent!

— C’est de ma faute!

— Sûrement, oui! Tu es trop beau, trop excitant!

Je me suis glissé contre lui et j’ai glissé ma main entre ses cuisses. C’était encore plus dur! J’ai carrément basculé sur lui et je me suis retrouvé à cheval sur son corps musclé.

— Je peux t’assurer que je le veux vraiment, Vince! J’en rêvais depuis des mois...

— Et moi donc!!!

Je perdis toute retenue et, tout en continuant à le caresser, j’ai attrapé sa longue tige entre mes doigts pour la branler. C’était une sensation géniale! Je me suis penché au-dessus de son visage. J’ai vrillé mes yeux dans les siens et je l’ai embrassé.

— J’ai du mal à te reconnaître, David!

— Tu n’as pas encore tout vu...

Excité comme une puce, je me frottais sans retenue contre sa cuisse. Il ne me fallut que quelques secondes pour éjaculer abondamment.

— Déjà!?

— Je serai très vite prêt à recommencer.

08.jpg Vincent m’a soulevé comme un morceau de bois et m’a couché sur le dos. Il a relevé mes jambes et m’a bouffé la rosette. Sa préparation fut de courte durée car il n’en pouvait plus. Il a enfilé une capote et m’a enculé de face. J’étais ravi de pouvoir l’admirer à l’ouvrage. Mon frère me baisait et il faisait ça bien. Il donnait maintenant de violents coups de reins et faisait coulisser sa bite à l'intérieur de ma gaine brûlante. Je bandais à nouveau comme un âne et il me sourit en constatant cet état de fait. Il prit alors ma queue entre ses doigts et commença à me branler tout en me limant en cadence.

— Je ne veux pas jouir trop vite! gémit-il en sortant de mon cul.

Il s’agita au-dessus de moi de sorte que son visage disparut entre mes cuisses. Je sentis ses lèvres chaudes qui se refermaient autour de ma queue. Sa langue tournoyait autour de mon gland avec une agilité étourdissante. Une de ses mains me titilla le bout des seins pendant que sa bouche avalait entièrement ma queue en la pompant bruyamment. Vincent me garda dans sa bouche plus de trente minutes. J’ai éjaculé une nouvelle fois. J’étais épuisé et heureux. Je venais de me faire sucer à fond par mon frangin adoré! Le Dieu de la Baise!

09.jpg — Tu aimes?

— J’adore, Vince! Tu fais ça très bien. T’es gay depuis longtemps?

— Depuis toujours! Comme toi, j’imagine!

— Comme moi, oui!

— Ben, nos pauvres parents ont raté le coche avec nous. Ce n’est pas demain qu’ils vont avoir des petits-enfants!

La tête de mon frère replongea entre mes cuisses ouvertes. Il jouait maintenant avec mes couilles, les soupesait, les malaxait tout en essayant de redonner vigueur à mon membre qui avait déjà joui deux fois... Il me suçait très lentement tout en me regardant dans les yeux et la vision de sa bouche charnue distendue par ma grosse bite m’excitait terriblement.








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Publié dans : Les histoires du net - Communauté : les jeunes exhibes
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